Bonjour,

Une question qui fera sourire : si on est affecté à compter du 1er septembre (jour de rentrée) en tant que gestionnaire, quels sont les solutions pour prendre contact avec l'établissement (prédécesseur et chef d’établissement) avant cette date. Je m'explique : peut/doit-on venir visiter les lieux avant cette date, à quelle période ? Est-ce qu'il y a des "coutumes" à respecter : lettre, coup de de fil pour dire que l'on 'arrive', présenter son parcours, et exprimer le fait que l'on souhaite un premier contact plus ou moins informel avant une arrivée officielle. Pour le prise de consigne avec le prédécesseur, combien de jours prévoir et à quelle période.

J'avais prévenu que la question pouvait prêter à moquerie 

Merci pour vos réponses !

Ce n'est pas une question idiote
J'ai reçu pendant les vacances (il y a donc deux semaines) la SAENES qui est nommée dans mon bahut au 1er septembre
Elle a eu le mouvement inter et m'a contacté tout de suite.
En mon temps (il y a presque 20 ans) je suis allé en Creuse le 10 août pour rencontrer le collègue que je remplaçais..
En 2000 j'avais accueilli mon successeur, sur le même poste, vers le 25 ou 26 août pour une passation..

Quand tu peux le faire, c'est le top.

Un CE s'attend à ce que le nouveau prenne contact au moins par téléphone dans les jours qui suivent la notification de sa mutation. Si on n'est pas à 300 km on peut prendre une journée
fin juin début juillet pour faire une visite sur place : utile pour se présenter, faire le point avec le collègue partant et voir le logement et convenir de la date du déménagement.

Merci pour ces réponses (rapides !!!)

De mon côté, j'avais même envoyé mon CV à mon futur chef d'établissement, histoire de me présenter. Avec le recul c'était un peu bizarre, et je ne suis pas trop sûr qu'alors la démarche fut comprise. Avec encore un peu plus de recul, je pense que je prenais juste un peu d'avance sur le système de recrutement par profil...

Encore une chose que les collègues n'ont pas dite : nommé le 1er septembre peut-être, mais pour toi dans cet établissement, le boulot commencera le 25 août à la dernière extrèmité du plus tard envisageable ! Pas question de débarquer le lendemain de la pré-rentrée des profs, sinon ambiance !

Bozinchu a écrit:

En 2000 j'avais accueilli mon successeur, sur le même poste, vers le 25 ou 26 août pour une passation..

Quand tu peux le faire, c'est le top.

L'intendant zonard a écrit:

Encore une chose que les collègues n'ont pas dite : nommé le 1er septembre peut-être, mais pour toi dans cet établissement, le boulot commencera le 25 août à la dernière extrèmité du plus tard envisageable !

Merci pour ces idées. Je vois que ce que j'envisageai se fait déjà.

doit-il commencer par l'outrepasser ?

Sur mon premier poste, après l'IRA, j'ai commencé à bosser vers le 20 aout, en doublon avec mon prédécesseur pendant une semaine. Il finissait de préparer la passation ; nous étions seuls dans le bahut, ça m'a permis de bien mémoriser son classement, l'organisation du bureau en lui-même, et de me familiariser avec tout ce binz auquel, il faut bien l'avouer, je ne comprenais pas grand chose.

Si tu a la possibilité de passer qq jours en doublon comme ça (avec qqun qui serait ravi de te montrer les choses of course), tu auras une grande chance !

machin a écrit:

doit-il commencer par l'outrepasser ?

j'avoue humblement ne pas avoir compris le début du commencement de cette question...

Pour en revenir à mon cas perso, je me souviens avoir demandé à une cousine (qui était déjà AC) ce qu'il fallait que je regarde quand j'allais me rendre au collège de Boussac à la mi août...
Elle m'avait répondu: "rien"
L'argument de base étant qu'un tordu ne pouvait pas montrer son bahut. Le gars qui faisait la démarche de t'appeler pour que tu viennes 3 jours n'avait rien à cacher et que la situation était nickel
Surtout que je n'étais pas en capacité de comprendre quelque chose.

Vraiment si c'est possible de venir passer au moins une demi journée avec le prédécesseur, c'est le top!... enfin j'imagine.
Car moi j'étais arrivé le 1er septembre et la secrétaire m'avait donné la clé du bureau... Outre le fait que je n'avais jamais mis les pieds dans un EPLE, j'ai mis vraiment de temps à voir où était quoi, le classement...

Bonjour,

Dans mon cas, 2 exemples:

Sortant d'IRA, emménagement en août, prise de poste le 1/09 comme AC. Mon prédécesseur était déjà parti à l'étranger, jamais rencontré.

Poste d'AC actuel, contacts avec le collègue à partir de juin, prise de poste au 1/09. (boulot précédent obligeant à travailler fin août et passation)


Pour pouvoir être présent avant la rentrée, outre la distance entre les deux postes, il est nécessaire d'avoir l'autorisation de vos responsables (avec OM) CE, SG et cela n'est pas automatique.

Pour une personne nommée dans la FP au 1/09 il est par ailleurs délicat de venir avant, notamment en termes d'accident.

peky a écrit:

Pour une personne nommée dans la FP au 1/09 il est par ailleurs délicat de venir avant, notamment en termes d'accident.

Pourquoi ? Dans ce cas c'est une visite et un déplacement privés tout simplement qui en cas d'accident de sera pas un accident de travail.

Pour ma part, sortant également d'IRA, avec prise de poste officielle le 1/09, j'étais venu dès le 25 août également. Ma prédécesseure  était, non pas déjà parti à l'étranger, mais restée (   !) en vacances à l'étranger prétextant un avion manqué...
Sur mon second poste, j'ai navigué pendant une semaine entre les deux postes histoire de ne pas débarquer seulement le 1er et avoir déjà mis les mains dans le cambouis de la rentrée.
Si tu n'es pas tenu à rester jusqu'au 31/08 sur ton actuel poste, je te conseille également de prendre contact avec l'actuel gestionnaire pour venir plus tôt. Sinon, au moins se présenter en juillet ou fin août.

Bozinchu a écrit:

Ce n'est pas une question idiote
J'ai reçu pendant les vacances (il y a donc deux semaines) la SAENES qui est nommée dans mon bahut au 1er septembre
Elle a eu le mouvement inter et m'a contacté tout de suite.
En mon temps (il y a presque 20 ans) je suis allé en Creuse le 10 août pour rencontrer le collègue que je remplaçais..
En 2000 j'avais accueilli mon successeur, sur le même poste, vers le 25 ou 26 août pour une passation..

Quand tu peux le faire, c'est le top.

Ah ? ben comment elle peut savoir sur quel poste elle va atterrir, je crois avoir lu que notre collègue "L'élégant" avait expliquer que lorsque l'on obtient une mutation par l'inter on ne fait qu'entrer dans une académie ; ensuite il faut participer au mouvement intra de ladite académie et attendre les résultats de la CAPA . et il me semble que les CAPA n'ont pas encore eu lieu
ou alors j'ai pas encore pigé l'articulation entre les mouvements inter et intra, voir intra tout court ; ou alors le poste était paru sur la BIEP en marge de tous les autres mouvements.

volcan a écrit:

peky a écrit:

Pour une personne nommée dans la FP au 1/09 il est par ailleurs délicat de venir avant, notamment en termes d'accident.

Pourquoi ? Dans ce cas c'est une visite et un déplacement privés tout simplement qui en cas d'accident de sera pas un accident de travail.

Voire, un juge pourrait fort bien considérer que faut pas pousser, la pratique normale que nous décrivons ici et qui fait l'unanimité est qu'il faut être là avant le 1er septembre. Mais on verra si la question se pose un jour ; en tout cas notre métier n'est pas particulièrement dangereux. Il faudra donc éviter l'accident de trajet, et attendre quelques jours avant de monter sur les toits.

Plus dangereux et plus probable comme accident, il y a celui que je me suis mangé lors de mon arrivée sur ma première gestion : le 26 août, dès le premier jour de redémarrage de service de vacances, grosse engueulade entre l'OP et le cuisinier. L'un comme l'autre étaient des nazes de premier choix, bêtes, fainéants et désagréables. Et on m'a demandé de prendre parti. J'ai bien essayé d'en prendre un pour taper sur l'autre, mais comme l'un des deux avait plus évidemment fait des choses qu'on ne doit jamais faire, j'étais coincé (situation de double contrainte caractérisée). Mon prédécesseur étant très légitimement parti vers sa nouvelle affectation, cela m'incombait. Bref, ça m'a pourri les quatre années que j'ai passées sur ce poste.

L'intendant zonard a écrit:

volcan a écrit:

peky a écrit:

Pour une personne nommée dans la FP au 1/09 il est par ailleurs délicat de venir avant, notamment en termes d'accident.

Pourquoi ? Dans ce cas c'est une visite et un déplacement privés tout simplement qui en cas d'accident de sera pas un accident de travail.

Voire, un juge pourrait fort bien considérer que faut pas pousser, la pratique normale que nous décrivons ici et qui fait l'unanimité est qu'il faut être là avant le 1er septembre. Mais on verra si la question se pose un jour ; en tout cas notre métier n'est pas particulièrement dangereux. Il faudra donc éviter l'accident de trajet, et attendre quelques jours avant de monter sur les toits.

Le juge - à mon avis - ne pourrait trouver à redire que si le déplacement avant la nomination était une obligation, une exigence de l'employeur ; ce qui n'est pas le cas. La preuve étant que quantité de personnes ne font pas la démarche.
Rien n'oblige à venir avant le 1 septembre et si je décide de le faire c'est un choix personnel.

Sortie de l'IRA aussi. J'ai commencé vers le 25 aout. Mon prédécesseur n'était pas là. En accord avec le CE, il est revenu une journée pour faire la passation. Cette passation a consisté à me dire que tout était dans l'armoire. Et dans l'amoire, tout était en vrac, tout a été rentré au chausse pieds et donc tout mélangé. Le jour de la passation, il y a eu un problème avec le téléphone. Tout naturellement, je lui demande qui est l'opérateur. Il ne savait pas.... L'idéal est quand même de venir avant au moins pour rencontrer l'ensemble des équipes, visiter le bahut, prendre ses marques tranquillou avant la rentrée et ses soucis... Après on prend les choses progressivement, on ouvre les armoires, on fouille...

peky a écrit:

Pour pouvoir être présent avant la rentrée, outre la distance entre les deux postes, il est nécessaire d'avoir l'autorisation de vos responsables (avec OM) CE, SG et cela n'est pas automatique.

Ça me rappelle un ancien CE qui estimait que je devais rester en poste jusqu'au 31 août (et arriver le 1er septembre dans mon nouveau poste. Détail: c'était l'ouverture d'un établissement neuf... )

Walking Dead a écrit:

Cette passation a consisté à me dire que tout était dans l'armoire. Et dans l'amoire, tout était en vrac, tout a été rentré au chausse pieds et donc tout mélangé.

Mauvaise technique de travail, il y a nettement plus efficace que le chausse-pieds :

Le souci, c'est qu'il avait déjà jeté une bonne partie des dossiers aussi.... sinon c'est pas amusant !

J'observe via la vignette postée par l'IZ que, fut un temps, on pouvait fumer dans les bureaux.

Nostalgie a écrit:

Ah ? ben comment elle peut savoir sur quel poste elle va atterrir.

c'est une mutation sur poste précis
Géographiquement le poste n'est pas demandé (et oui..) le rectorat pour être certain d'une demande a donc fléché le poste ....

Merci de votre réponse Bozinchu, j'avoue cependant ne plus y voir bien clair dans les modalités de mutation de l'EN
Le fait de passer un poste en poste "précis" augmente la chance d'avoir des candidats ?? et pourquoi donc ...?

Hier j'ai rencontré un collègue : il me dit qu'il a fait acte de candidature sur un poste en EPLE qui est vacant....mais ce poste n'est pas paru dans AMIA, comment alors savoir les postes qui seront libérés d'ici septembre ?
Faut-il appeler tous les EPLE de l'académie pour savoir si oui ou non les postes vont se libérer ?

Avant, quand je souhaitais changer de poste dans un autre ministère, il suffisait de faire acte de candidature sur un poste déclaré vacant avec fiche de poste à l'appui, si personne n'était intéressé, il passait sur la BIEP afin d'entrer dans les postes vacants offerts lors d'une des deux campagnes annuelles de mutation.
Ainsi, si on était retenu, après entretien,  on savait précisément sur quel poste on allait être affecté puisqu'on l'avait demandé.

Ici c'est un peu flou, et pas très transparent non ? Par exemple, le poste qui s'est "libéré" du collègue en question, il y avait peut-être d'autres agents intéressés ?
c'est bizarre, du coup, ils sont chocolats

néthou a écrit:

peky a écrit:

Pour pouvoir être présent avant la rentrée, outre la distance entre les deux postes, il est nécessaire d'avoir l'autorisation de vos responsables (avec OM) CE, SG et cela n'est pas automatique.

Ça me rappelle un ancien CE qui estimait que je devais rester en poste jusqu'au 31 août (et arriver le 1er septembre dans mon nouveau poste. Détail: c'était l'ouverture d'un établissement neuf... )

Un peu extrémiste quand même comme situation, ma le SG a bien du intervenir.

Sur ce forum on répète assez souvent toutes les précautions à prendre pour telle ou telle opération et pour un nouveau poste pas de régle?

tellement mal accueilli, lors d'une première entrevue avec mon prédécesseur et le CE qui partait aussi, je me suis pointé le 1 er septembre, jour de la prérentrée.
Personne n'est irremplaçable, à commencer par ceux que l'on remplace.

Pour mon tout premier poste  : comme Attaché NG (faisant fonction de GM) non logé, je me suis présenté à la gestionnaire-comptable et à la proviseure locale fin juin début juillet (je ne sais plus exactement), tout comme une partie de mes collègues/concurrents de l'IRA qui visaient ce poste.

Tous ceux qui sont passé voir sur place, ou même qui ont seulement appelé au téléphone, ont tout de suite compris qu'il s'agissait d'une poudrière . Moi, pas très bien classé en sortie d'IRA, j'ai pris ce poste quand même car c'était le dernier en région parisienne et que j'étais jeune père de famille (quitte à me lever à 5 h du matin pour les transports en commun, puisque pas logé).

La proviseure m'a un jour sorti "vous êtes passé sur les pieds de beaucoup de monde pour obtenir ce poste" . Outre le propos sous-jacent malveillant dans l'expression, la pauvre était incapable de concevoir qu'elle avait carrément fait flipper et découragé les 10 personnes classées devant moi !!! Pour elle, j'avais forcément manigancé quelque chose pour récupérer son super poste de cible vivante .

A peine arrivé, plusieurs collègues femmes m'ont parlé de leurs envies de suicide , d'autres m'ont dit que j'avais une chance au moins, c'est que "jamais dans ta carrière tu ne pourras trouver pire comme chefs" .

J'ai passé une année horrible et j'ai terminé en arrêt de travail et alcoolique (je me suis soigné depuis, j'ai fait un passage dans la fameuse clinique MGEN de La Verrière).

Heureusement j'ai changé d'académie dès l'année suivante et qui plus est j'ai obtenu un détachement comme enseignant-chercheur contractuel pendant 3 ans (le temps de finir ma thèse). J'avais tellement été traumatisé par mon année en enfer que j'étais presque sidéré que les profs d'université pour qui je bossais me parlent courtoisement, se comportent normalement .


Deuxième poste : Lorsque j'ai réintégré le corps des AAENES le rectorat s'est carrément planté sur mon affectation : ils m'avaient affecté sur un poste non vacant (la gestionnaire locale avait fait une demande de mutation, puis annulé cette demande, mais le rectorat n'avait pas tenu compte de l'annulation).

Pagaille au rectorat donc, et une dame très polie (il faut dire que la commission paritaire était passée, que mes voeux géographiques n'avaient évidemment pas pu être pris en compte, etc.) placée assez haut au rectorat m'appelle et me dit : "bon ben il reste ça à XXX, avec tel logement, ça à XXX avec tel logement, etc.".

Finalement je suis tombé sur une très bonne occasion, le jour et la nuit en comparaison avec ma première affectation (telle que je l'ai décrite plus haut). Principale bienveillante et humaine, Agent comptable très pro et très correct, bonne équipe ATTEE, etc.

J'ai pris contact avec eux dès fin juin début juillet, je suis suis venu à la journée des portes ouvertes, j'ai rencontré la Principale (à qui j'ai remis un CV, comme l'intendant zonard :-) parce qu'au bout de 6 mois sur mon premier poste ma chef persistait à penser que j'étais un ancien catégorie B du ministère de la Défense  ) ainsi que mes futurs collègues, visité l'appartement, etc.

Coup de bol encore, mon prédécesseur a pris son temps et son énergie pour me faire la passation, m'a laissé tous les documents et tous les fichiers nécessaires sur son ordinateur.

Un type très sympa, que j'appelle encore régulièrement quand je ne parviens pas à trouver quelque chose dans son ex-bureau. Vraiment j'ai été verni.

Donc je te conseille une prise de contact le plus rapidement possible, et bonne chance pour tomber sur un prédécesseur qui fait l'effort d'une véritable passation ! Et effectivement il faut prévoir une rentrée fin août parce que débarquer le 1er septembre ce n'est tout simplement pas gérable !

Bonsoir,

Pour ma part, à la sortie IRA, j'ai été affecté sur un poste d'AC pour remplacer un collègue muté par mesure disciplinaire. Mais j'ai pris contact et rencontré le chef d'établissement sur le départ. Un désordre infâme dans le bureau  avec des documents partout. Mais j'ai beaucoup appris notamment en rangeant et en faisant des horaires de malade. Mais j'ai eu un CE très sympa et une cantine tous les soirs chez le Principal Adjoint et sa femme. Sur mon second poste de GM, j'ai rencontré  le CE et pas la gestionnaire car en arrêt maladie mais j'ai pu compter sur l'équipe d'intendance et mon CE. Sur mon poste actuel, j'ai passé qq jours avec ma collègue et rencontré l'ancien et le nouveau CE qui arrivait lui aussi. Je partirai probablement l'année prochaine et ferais la même chose que ma collègue. je préparerai une vraie passation pour mon ou ma remplaçante, chose que j'ai faite à chaque départ en indiquant au collègue de ne pas hésiter à m'appeler car on a chacun nos propres méthodes de rangement.
Bon courage au nouveau arrivant et n'hésitez pas non plus à contacter vos collègues alentours ainsi qu'interroger votre tuteur si vous en avez un.

Bonjour,
Concernant l'expérience de Bachelor, je me pose la question suivante : c'est vraiment faisable d'aller voir les CE et les gestionnaires sortant lors de la publication des postes en sortie d'IRA début juillet ? Cela doit être un vrai défilé de promo (en plus des coups de fil !) pour ces personnes en fin d'année scolaire...Vous leur dites quoi ? "Bonjour, on ne connait pas notre classement final, on voudrait en savoir plus sur le poste pour éventuellement le comparer et le choisir dans 15 jours ?"