on a beaux dire notre situation resteras précaire si ont ne bouge pas.
Il faut se syndiquer et les choses bougeront.
j
Je travail a mi temps 21 h par semaines à peine payer mon salaire de 650 euros.

On travail au tant que les maîtres et notre travail n'est tjrs pas connus.

Vous pouvez demander l'accumulation d'emplois,  mais dans les dom ces difficile.
En cdi à mi temps on ne touche même pas le smic, les lois changent pour certains et d'autres non.

Avec 800 eu ros de salaire

Moi j'en connais qui nettoient les chiottes ou font un autre travail physique 40 h par semaine plus une partie des congés scolaires pour 1250 €, qui n'ont pas 7 h de formation par an contre 200, qui n'ont aucune perspective d'avenir en raison de leur âge moyen et de leur niveau de formation initiale au lieu du bac minimum.

Chacun peut avoir des raisons légitimes de pousser son coup de gueule, mais le vôtre n'est pas le mieux venu ici pour moi.

dabittude, jeu conte les fotes d'aurtograf, mé la, jeu renonsse!
Pour être AED, il faut avoir le bac, non ?

Le bac, c'est plus ce que c'était

Maintenant tu sais pourquoi les AED sont appelés "pions"!

Sans provocation, quand j'étais AED mon salaire est passé en 5 ans de 985€ à 1185€, je ne peu pas en dire autan de mon salaire de SAENES.

En effet recruter des gens niveau bac pour le SMIC c'est intolérable, en même temps recruter n'importe qui pour le SMIC l'est également.

J'étais en ZEP, un établissement difficile (très), mais avec le recul, les journées étaient plutôt détendues et cool, bien sur de nombreux "accrochage" avec les élèves, mais finalement même si je méritais mon salaire (voir un peu plus) il faut bien considérer ce travail (et non pas ce métier) pour ce qu'il est, un job étudiant, ou un défaut un job de passage.

Moi ça ma permis de passer SAENES, je ne regrette donc pas, mais au final demande toi de ce que tu va en faire de ce job (parce que je le répète et bien malheureusement, ce n'est rien d'autre qu'un job).

En même temps, AED n'est qu'un CDD, mal considéré.

Le seul et unique intérêt qu'il présente c'est qu'on peut passer les concours de l'éducation nationale (ADJAENES/SAENES).

Je pense sincèrement qu'il faut tenter ces concours, j'en connais beaucoup qui ont réussi (certains ont même évolués en attaché par la suite).

Sinon je rejoins Plouf dans son analyse.

enfin en même temps, quand on voit le niveau des salaires, ce n'est pas étonnant qu'un AED gagne cela. Je ne dis pas que c'est bien, mais j'en gagne guère plus... A la base c'est un job pour étudiant, ce n'est pas une carrière...
On voudrait tous gagner 3000 euros mais ce n'est pas possible. Il est bon parfois de relativiser les choses et de ramener le salaire aux responsabilités... Dans ce cas, les AED ne sont pas les plus mal lotis...

spartacus a écrit:

dabittude, jeu conte les fotes d'aurtograf, mé la, jeu renonsse!

Merci pour le fou rire mais pour le coup, mon rimel a morflé

Il arrive bien trop souvent que des AED pensent pouvoir faire carrière dans l'éducation nationales.
Si je ne m'abuse, le statut des AED avait été pensé pour les étudiants de manière à pouvoir concilier études et missions en eple.
Il m'est souvent arrivé de croiser des AED qui conciliaient leurs études avec leur job et cela ne leur posaient pas de difficultés particulieres.
Par contre, j'ai aussi vu des AED n'ayant pas d'autres perspectives que ce Job et c'est bien là que réside le problème.
Les propos de notre contributeur illustre ce manque de clairvoyance alors que son statut lui permettrait de réflechir à un véritable projet professionnel.
Doit on alors regretter l'existence des pions qui dans ma jeunesse étaient des étudiants ?

Laxman a écrit:

[...]Doit on alors regretter l'existence des pions qui dans ma jeunesse étaient des étudiants ?

Non, le statut des « pions » était hyper-protecteur et rendait quasiment indéboulonnables ceux d'entre eux qui n'assuraient pas correctement leur boulot. À force, ces rigolos ont cassé un système pourtant bien pensé à l'origine mais mal conçu en fait.

J'avoue avoir usé de ce système, il fallait quand même réussir de temps en temps  à passer dans le cycle d'enseignement suivant pour être autorisé à cumuler les sept années de surveillant.
La tentation était, sans doute comme pour les AED, de considérer que c'était un travail, de vivre avec insouciance,de  faire la fête, et de ne pas mettre à profit cette situation pour étudier sérieusement.
Toutefois avec un temps complet de 32 heures, et parfois en province des déplacements de plus d'une heure pour aller dans les centres universitaires, la  poursuite des études n'était pas toujours facile (les nominations en début de fonction dépendaient du rectorat, et on se retrouvait facilement à 100 km ou plus des lieux d'études, les années suivantes on pouvait avoir une mutation et se rapprocher).
Maintenant il semble que la règle ce soit temps partiel non choisi.