Franchement les modos, vous y allez fort. Pour une fois qu'on avait un troll rigolo*, j'ai pas eu le temps de me l'aligner...
Pauvre Ian K
* au vu du nombre de çonneries à la phrase, on était dans le maousse, le lourd, le carabiné...

Moi, je pense qu'on devrait mettre le verrouillage au vote. Sûr que LMDV suivrait sur ce coup.   

Je ne vous en voudrai pas si ça passe direct corbeille ou expurgé...  

Moi non plus je n'ai pas eu le temps de jouer avec le troll.
Je voulais proposer de l'affecter dans le bahut du CE adjoint qui ne comprend pas quand on lui dit que ça ne se fait pas d'utiliser le téléphone pro pour les appels persos, ils auraient pu se raconter leurs malheurs mutuels.

Moi je voulais lui raconter l'expérience d'un copain qui a géré un établissement à l'étranger : les agents qui assuraient l'entretien de sa baraque vivaient à l'autre bout d'une ville de un million d'habitants dépourvue de tout ce qu'ici on appellerait raisonnablement "transports en commun". Ils étaient à l'heure tous les matins, pour un salaire qui ne paierait pas un repas subventionné à la cantine ici.

Moi je voulais juste faire baisser ma tension. Et comme je ne pense pas avoir été la seule à être incommodée par la lecture des propos de ce ... rien du tout, c'était pour moi une mesure de prophylaxie. Et il me semblait que tout avait été dit par volcan au moment où il proposait (à juste titre) de ne pas alimenter ces    Mais si vraiment vous me promettez des interventions aussi pointues, ça ne me gêne pas que ce soit déverrouillé   

Vaudrait p'têt mieux pas.
Vu les propos mesurés du... collègue (et ouais, c'est un collègue, méditez ça...), ça partirait en vrille de suite. 

De toute façon, il a des dispositions naturelles pour le trollage: donc il reviendra...
(je veux dire quand on l'aura muté sur un poste à plus de 20 mn de son petit appart' du 5ème à Pétaouchnok et qu'il aura refusé puisque-n'ayant-pas-son-permis; comme ça il pourra revenir exposer ses états d'âme sur la méchanceté du système, l'inutilité des syndicats, et la bien-pensance de ce forum -ça c'est quand on lui aura répondu...-)

de quoi qu'on parle? cé koi le post d'origine?

Je connais un proviseur qui n'a pas son permis de conduire et demandait à chaque fois une affectation dans un bahut facilement accessible avec la seuneuceufeu et les transports en commun et il gagnait à chaque fois comme quoi....  

Personnel de direction, personnel de direction...

Et la Cour de proposer, par souci de rapidité d'efficacité -comme l'ex-ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, en février dernier-, «le gel temporaire des avancements» des agents publics. Il resterait même «des marges de manœuvre», que ce soit dans la rénovation des rémunérations accessoires et régimes indemnitaires communs à tous les fonctionnaires (indemnité de résidence, prime de mobilité, supplément familial de traitement…) ou la stabilisation du coût des mesures ponctuelles (heures sup, primes de restructuration…) qui a augmenté ces dernières années.

Si utiles soient-elles, toutes ces mesures ne suffiront pas à maîtriser la masse salariale selon la Cour des comptes qui suggère donc au gouvernement de réactiver «le levier de la baisse des effectifs qui est porteur d'économies importantes». Un gel des effectifs dans les ministères prioritaires, combiné à la poursuite au même rythme qu'aujourd'hui de la réduction des effectifs dans les ministères non prioritaires, permettrait ainsi «de dégager une économie annuelle de 450 millions d'euros». Une enveloppe qui serait même portée à 850 millions si le non remplacement d'un départ sur trois à la retraite devenait une réalité dans les fonctions publiques territoriales et hospitalières, soit une coupe de 30.000 postes par an dans les trois fonctions publiques et un effort équivalent à celui porté par le seul État entre 2008 et 2012.

Durée effective du travail inférieure à celle légale

La Cour suggère aussi à l'État de mieux gérer sa main d'œuvre en transférant des agents des services en sureffectifs vers ceux en sous-effectifs. Voire d'augmenter «la durée effective du travail dans les administrations», via un alignement sur la durée légale (plusieurs enquêtes de la Cour montent que la durée effective est assez souvent inférieure), une réduction du nombre de jours d'absence «par exemple en rétablissant la journée de carence en cas de maladie», ou encore une hausse de la durée légale. «Une augmentation du temps de travail effectif de 1 %, soit l'équivalent de la suppression de deux jours de congés, permettrait une économie pour l'ensemble de la fonction publique de 700 millions d'euros en réduisant les recrutements nécessaires», pointe la Cour. Soit, pile poil, le besoin annuel d'économies supplémentaires au gel du point d'indice pour maîtriser l'évolution de la masse salariale dans la fonction publique jusqu'en 2017. Le gouvernement Valls ne pourra pas dire qu'il n'aura pas été averti…


ce jourdhui même le figaro

il faudrait verouiller le sujet "du verouillage"