[APAENES 2013] Résultats

Histoire de foutre encore un peu plus la m.rde, je constate qu'il y a, face à l'échec à l'apaenes comme face à tout échec, 2 attitudes possibles :

1- celle qui consiste ruminer dans son coin que les examinateurs sont tous des c.ns

2- celle qui consiste à se remettre en question.

Perso, comme je compte bien être apaenes en septembre 2014, j'ai choisi la seconde option.

Haut les cœurs, les recalés!

Poporc
Le côté obscur de la Force, c'est bien ?

Dupont a écrit:

Perso, comme je compte bien être apaenes en septembre 2014, j'ai choisi la seconde option.

J'ai un délai supplémentaire aussi Dup , ?

Poporc

Quand j'ai décroché cet examen il y a quelques années, à ma première tentative, avec un classement agréable sans être éblouissant, qu'est-ce qui a bien pu faire la différence ? Je sais m'exprimer, à l'oral comme à l'écrit, sans trop trébucher, j'ai bénéficié d'une préparation de qualité, et j'étais déjà sur un poste coté CASU. Voilà pour les lieux communs. Il y en a pas mal qui ne l'ont pas eu, même avec ce pédigrée.

Mais ce qui a -probablement- fait la différence, c'est ma volonté systématique, qui j'espère transparaît à travers mon activité en ligne, de dépasser le quotidien, de contribuer au niveau global à la qualité du service public en refusant catégoriquement de penser à "ma baraque d'abord". Ce qui aura intéressé le jury, ce n'était pas le stakhanoviste, mais le gars qui ne se contente pas de ce qui est, et qui recherche activement à faire évoluer les choses, chez lui, autour de lui et au-delà. Même si c'est assez fatigant, même si beaucoup de gens comprennent mal, même malgré les échecs et l'énergie gâchée.

Je réitère mon conseil : vous ne pouvez pas prétendre vous positionner en cadres sans assumer entièrement le rôle de recruteur. Vous n'avez que peu de chances de savoir vous mettre à la place des membres du jury si vous ne faites pas la démarche de devenir vous aussi jury de concours. Si, parmi ceux qui ont plusieurs échecs démoralisants derrière eux, il y en a qui sont jury d'adjoint, SAENES et classe sup et tous ces trucs-là, je veux bien ne pas la ramener. Mais sinon, vos savez ce qu'il vous reste à faire.

deception a écrit:

on ne sait toujours pas si choco et dbm l'ont eu.....je vois qu'ils ont toujours de l'humour.

Ah ben non, pas cette année, mais j'ai précisé hier que la personne qui voulait faire des recours contre les résultats ce n'était pas moi promiscrachéjuré
Pour tout exam, faut changer d'avatar et de nom: j'hésite encore entre un nom corse, gage de qualité, et un nom genre méthode coué, comme celui d'admise qui me plaît bien aussi...
Apachù me semble un bon mixte des 2?!

En tout cas le conseil de l'Iz est bien entré dans ma tête et ceux des autres aussi

Y'a eu du mou dans l'sortilège !!
Courage ! Il m'a fallu 2 tentatives. Pour un Reuri c'est bien !

L'intendant zonard a écrit:

Vous n'avez que peu de chances de savoir vous mettre à la place des membres du jury si vous ne faites pas la démarche de devenir vous aussi jury de concours

en ce qui me concerne, dans une "ancienne vie" (hors EN) j'ai effectivement eu l'occasion d'être membre de jury de concours et j'ai déjà participé à des entretiens de recrutement

je ne saurais pas dire si cette expérience a réellement joué un rôle dans ma prestation face au jury, je n'en ai pas eu l'impression mais peut-être que si finalement ça m'a peut-être aidée, même si c'était inconscient

Bravo à Poporc et l'IZ pour leurs posts. Je partage totalement leur analyse.

En ce qui me concerne, c'est un peu comme l'IZ : décroché du premier coup en milieu de tableau en y allant les mains dans les poches (ou presque : j'avais juste révisé l'enseignement supérieur, seul domaine où je ne connaissais vraiment rien). Devant le jury, je n'ai pas parlé de mon cursus mais du système et de la façon dont j'y inscrivais mon action de cadre.

Quant à l'expérience de jury, j'ai fait partie d'un jury interne de SAENES, à l'écrit comme à l'entretien, mais je ne sais pas si cette courte expérience a eu une quelconque influence sur ma réussite au principalat. Peut-être.

Poporc a écrit:

La simple présentation de ta prestation déclenche un baillement immédiat alors le jury...

Connaissant sa carrière, son potentiel à l'oral et ses qualités et défauts professionnels, j'ai beaucoup de mal à te rejoindre. Franchement, si Sami l'a pas eu, je suis bien content de ne plus être à l'Educ'.
Manquerait plus que j'apprenne que Séverine l'a loupé aussi, et ça sera le pompom.

Hippos a écrit:

En ce qui me concerne, c'est un peu comme l'IZ : décroché du premier coup en milieu de tableau en y allant les mains dans les poches (ou presque : j'avais juste révisé l'enseignement supérieur, seul domaine où je ne connaissais vraiment rien). Devant le jury, je n'ai pas parlé de mon cursus mais du système et de la façon dont j'y inscrivais mon action de cadre.

Quant à l'expérience de jury, j'ai fait partie d'un jury interne de SAENES, à l'écrit comme à l'entretien, mais je ne sais pas si cette courte expérience a eu une quelconque influence sur ma réussite au principalat. Peut-être.

Pour ma part, je pourrais faire exactement le même résumé et je pense qu'on est nombreux dans ce cas-là.

Un oral est au final une épreuve de communication et il y a forcément une part de subjectivité dans l'appréciation des membres du jury. C'est là toute la difficulté.Il y des non reçus pas plus déméritants que certains reçus...........

Bon, j'ai enfin mis la main sur mon numéro et en csq sur ma note : 16

Merci à tous ceux qui ont contribué à l'émulation collective!!

L'intendant zonard a écrit:

Poporc

Quand j'ai décroché cet examen il y a quelques années, à ma première tentative, avec un classement agréable sans être éblouissant, qu'est-ce qui a bien pu faire la différence ? Je sais m'exprimer, à l'oral comme à l'écrit, sans trop trébucher, j'ai bénéficié d'une préparation de qualité, et j'étais déjà sur un poste coté CASU. Voilà pour les lieux communs. Il y en a pas mal qui ne l'ont pas eu, même avec ce pédigrée.

Mais ce qui a -probablement- fait la différence, c'est ma volonté systématique, qui j'espère transparaît à travers mon activité en ligne, de dépasser le quotidien, de contribuer au niveau global à la qualité du service public en refusant catégoriquement de penser à "ma baraque d'abord". Ce qui aura intéressé le jury, ce n'était pas le stakhanoviste, mais le gars qui ne se contente pas de ce qui est, et qui recherche activement à faire évoluer les choses, chez lui, autour de lui et au-delà. Même si c'est assez fatigant, même si beaucoup de gens comprennent mal, même malgré les échecs et l'énergie gâchée.

Je réitère mon conseil : vous ne pouvez pas prétendre vous positionner en cadres sans assumer entièrement le rôle de recruteur. Vous n'avez que peu de chances de savoir vous mettre à la place des membres du jury si vous ne faites pas la démarche de devenir vous aussi jury de concours. Si, parmi ceux qui ont plusieurs échecs démoralisants derrière eux, il y en a qui sont jury d'adjoint, SAENES et classe sup et tous ces trucs-là, je veux bien ne pas la ramener. Mais sinon, vos savez ce qu'il vous reste à faire.

Je suis d'accord mais malheureusement, cela ne suffit pas , enfin cela n'a pas suffi en ce qui me concerne...

Je connais beaucoup de personnes qui ne s'investissent ni dans le travail collectif ni dans la recherche à faire évoluer les choses et qui l'ont du
premier coup .

Non, ce n'est pas aussi simple :

Trop de facteurs rentrent en jeu, autant le ton de la voix que le contenu de la
première réponse ou ... de la dernière réponse... la formulation des
questions du jury auxquelles il faut pourtant répondre vite ou demander
des précisions qui ne seront peut être pas plus précises parce que le
jury lui même ne sait pas trop quoi demander ...

C'est le contenu de l'épreuve de ce concours qui devrait être revu puisqu'il ne s'agit pas d'un examen mais bien d'un concours...

Euh ... on fait comment quand on ne parvient plus à mettre la main sur le mail de confirmation me permettant de retrouver mon numéro ???

Ce mail nous est parvenu à quel moment ?

Merci à tous ceux qui pourront m'aider

bzh22 a écrit:

Euh ... on fait comment quand on ne parvient plus à mettre la main sur le mail de confirmation me permettant de retrouver mon numéro ???

Ce mail nous est parvenu à quel moment ?

on a reçu le mail le jour de l'inscription au concours sur Internet et ensuite, vers fin octobre, on a reçu un dossier papier qu'il fallait transmettre pour confirmer l'inscription (avec fiche de renseignement, état des services et CV)

Citation :

Je suis d'accord mais malheureusement, cela ne suffit pas , enfin cela n'a pas suffi en ce qui me concerne...

Je connais beaucoup de personnes qui ne s'investissent ni dans le travail collectif ni dans la recherche à faire évoluer les choses et qui l'ont du
premier coup .

Non, ce n'est pas aussi simple :

Trop de facteurs rentrent en jeu, autant le ton de la voix que le contenu de la
première réponse ou ... de la dernière réponse... la formulation des
questions du jury auxquelles il faut pourtant répondre vite ou demander
des précisions qui ne seront peut être pas plus précises parce que le
jury lui même ne sait pas trop quoi demander ...

C'est le contenu de l'épreuve de ce concours qui devrait être revu puisqu'il ne s'agit pas d'un examen mais bien d'un concours...

entierement d'accord

A la lecture des commentaires, je trouve dommage que l'obtention de l'examen repose davantage sur le fait de savoir parler de ce qu'on a à faire plutôt que de savoir faire, ce pour quoi on est employé.
Personnellement, je préfère un collaborateur qui fait de son mieux dans les tâches qui lui sont confiées plutôt qu'un excellent orateur qui aura tendance à tout déléguer et à s'investir dans toutes les missions qui ne sont pas les siennes.
Cela dit, je conçois tout à fait que l'on puisse avoir des opinions différentes.

Bonjour,

Je crois que dans l'esprit de ce concours on est déjà en mesure de faire (après un minimum de temps en A et en B aussi on peut l'espérer).
Ce qui est recherché, c'est ceux qui sauront faire faire (donneurs d'impulsion) et pourront, par leur maitrise, éventuellement accompagner afin que le travail demandé soit bien éxécuté.

Ben moi, c'était la première fois que je le passais, j'ai eu 18, j'ai juste été moi-même avec mes défauts et qualités....

LILI FOLIE a écrit:

A la lecture des commentaires, je trouve dommage que l'obtention de l'examen repose davantage sur le fait de savoir parler de ce qu'on a à faire plutôt que de savoir faire, ce pour quoi on est employé.
Personnellement, je préfère un collaborateur qui fait de son mieux dans les tâches qui lui sont confiées plutôt qu'un excellent orateur qui aura tendance à tout déléguer et à s'investir dans toutes les missions qui ne sont pas les siennes.
Cela dit, je conçois tout à fait que l'on puisse avoir des opinions différentes.

« qui aura tendance à tout déléguer », c'est plutôt positif : on attend d'un manager qu'il manage, pas qu'il fasse tout lui-même.

« s'investir dans toutes les missions qui ne sont pas les siennes », c'est en revanche incontestablement mauvais.

Il ne reste plus qu'à trouver le juste milieu.

Quant aux regrets concernant le paraître par rapport à l'être, c'est malheureusement inhérent au principe même de l'examen : c'est un oral, pas un écrit. Il faut donc convaincre à l'oral. Mais ce n'est pas un hasard. Tous les concours finissent par une ultime sélection orale. Parce qu'on a encore rien trouvé de mieux pour jauger un homme que de discuter avec lui.
Un bon manager, c'est moins un « collaborateur qui fait de son mieux dans les tâches qui lui sont confiées » que quelqu'un capable de conduire une équipe. Et que je sache, une équipe se conduit en lui parlant, pas en lui écrivant des circulaires, ni même en lui montrant qu'on maîtrise ses dossiers (ce qui est nécessaire, mais pas suffisant).

Pour prendre un exemple sorti de l'examen d'APAENES : j'ai connu des CE qui étaient des buses quand il s'agissait de faire entrer leur DGH dans l'application informatique du TRM. Mais comme meneurs d'hommes, pardon, des cadors ! Et leurs établissements successifs allaient comme sur des roulettes, avec innovations pédagogiques et dynamique à gogo. Inversement, j'en ai vu d'autres qui te maniaient le TRM aux petits oignons, mais qui étaient infoutus d'engager leurs équipes dans la moindre dynamique, ce qui s'en ressentait lourdement sur leur établissement. Bien que chef de DOS, je préférais largement travailler avec les premiers, même si c'était les plus rusés pour essayer de me rouler dans la farine - ou peut-être à cause de cela, je suis très joueur.

Un lien intéressant sur l' « effet miroir » d'un jury. Cela concerne l'oral de l'IRA, mais c'est valable pour n'importe quel jury : Ressembler (un peu) au jury et le jury vous ressemblera

Nicola28 a écrit:

Ben moi, c'était la première fois que je le passais, j'ai eu 18, j'ai juste été moi-même avec mes défauts et qualités....

Hippos a écrit:

LILI FOLIE a écrit:

A la lecture des commentaires, je trouve dommage que l'obtention de l'examen repose davantage sur le fait de savoir parler de ce qu'on a à faire plutôt que de savoir faire, ce pour quoi on est employé.
Personnellement, je préfère un collaborateur qui fait de son mieux dans les tâches qui lui sont confiées plutôt qu'un excellent orateur qui aura tendance à tout déléguer et à s'investir dans toutes les missions qui ne sont pas les siennes.
Cela dit, je conçois tout à fait que l'on puisse avoir des opinions différentes.

« qui aura tendance à tout déléguer », c'est plutôt positif : on attend d'un manager qu'il manage, pas qu'il fasse tout lui-même.

« s'investir dans toutes les missions qui ne sont pas les siennes », c'est en revanche incontestablement mauvais.

Il ne reste plus qu'à trouver le juste milieu.

Quant aux regrets concernant le paraître par rapport à l'être, c'est malheureusement inhérent au principe même de l'examen : c'est un oral, pas un écrit. Il faut donc convaincre à l'oral. Mais ce n'est pas un hasard. Tous les concours finissent par une ultime sélection orale. Parce qu'on a encore rien trouvé de mieux pour jauger un homme que de discuter avec lui.
Un bon manager, c'est moins un « collaborateur qui fait de son mieux dans les tâches qui lui sont confiées » que quelqu'un capable de conduire une équipe. Et que je sache, une équipe se conduit en lui parlant, pas en lui écrivant des circulaires, ni même en lui montrant qu'on maîtrise ses dossiers (ce qui est nécessaire, mais pas suffisant).

Pour prendre un exemple sorti de l'examen d'APAENES : j'ai connu des CE qui étaient des buses quand il s'agissait de faire entrer leur DGH dans l'application informatique du TRM. Mais comme meneurs d'hommes, pardon, des cadors ! Et leurs établissements successifs allaient comme sur des roulettes, avec innovations pédagogiques et dynamique à gogo. Inversement, j'en ai vu d'autres qui te maniaient le TRM aux petits oignons, mais qui étaient infoutus d'engager leurs équipes dans la moindre dynamique, ce qui s'en ressentait lourdement sur leur établissement. Bien que chef de DOS, je préférais largement travailler avec les premiers, même si c'était les plus rusés pour essayer de me rouler dans la farine - ou peut-être à cause de cela, je suis très joueur.

Un lien intéressant sur l' « effet miroir » d'un jury. Cela concerne l'oral de l'IRA, mais c'est valable pour n'importe quel jury : Ressembler (un peu) au jury et le jury vous ressemblera

je ne saurais dire mieux: arriver à un certain niveau de responsabilité le fond comme la forme sont interdépendants et nécessaires à la mobilisation des équipes, avec lesquelles ont travaille et sur lesquelles, parfois, on n'a pas d'autorité hiérarchique mais une liaison fonctionnelle

Après quelques émois et discussions à fleur de peau, je reviens vers vous pour vous faire part de mon appréciation sur ce concours.
Pour fermer la porte à toutes polémiques inutiles, je ne suis pas le plus intelligent des attachés, ni même le plus habile techniquement.
Aussi, je vais vous livrer mes observations sur cette épreuve.
En premier lieu, le candidat au principalat doit faire preuve d'une hauteur de vue qui dépasse son environnement professionnel.
Cela passe par une culture professionnelle et personnelle que le jury détectera par les questions posées.
En second lieu, il devra argumenter de manière pertinente sur les questions qui lui seront posées par le jury sur des sujets qui ne lui sont pas communs.
Ces deux items sont intimement liés.
En second lieu, il y a certainement le savoir être.
Celui-ci, subjectif, réside dans la perception que le jury a du candidat.
Par exemple, il y a l'honnêté de l'aspirant de reconnaître qu'il ne connaît pas le sujet ou la réponse attendue.
Enfin, il y a à l'évidence, la façon dont le prétendant s'exprime, communique. En ce domaine, les membres du jury attendent que le postulant se comportent comme lui.
Je rejoins les avis exposés dans les derniers posts.
En définitive, comme cela a été clairement dit, l'examen professionnel d'APAENES reste un examen avec ses atouts et ses failles dont l'objectif est de recruter des cadres supérieurs du ministère.
Devenir un cadre supérieur demande, si j'ai bien compris, des aptitudes dépassant le cadre technique dans lequel évolue les attachés.
Ce sont des compétences abstraites qui prennent toute leur mesure dans la conduite de projets, le management d'équipes et les relations institutionnelles.
Ces propos formulés, je suis persuadé que la plupart des collègues sont d'excellents techniciens, de bons manageurs de proximité et de réels serviteurs du service public.

Votre fidèle Laxman.

et ***

De plus l'EN ce n'est pas l'Ecole des Fans avec un 10/10 pour tout le monde.
On connait le postulat de base : 286 reçus
Pas un de plus, parfois moins, jamais plus....
Je connais d'excellents collègues qui sont simples C et qui pour certains ont des fonctions de A.
Combien de fois avons nous entendu cela.
"M Duschmol pourrait être AC sans problème"
Pas dit qu'un passage de C à A serait possible.
Je connais aussi des A qui sont des incapables et qui ne comprennent rien à rien...
Mais tout ça n'est que littérature ...la seule vérité c'est celle du jour de l'oral.
Pareil pour le SAENES ou l'ADAENES.
Il faut être en forme le jour J et faire illusion.

bravo aux admin pour la censure.

j'espere que tous les deçus, les recalés alors qu'ils excellent dans leur travail et se sont investis dans les revisions n'adherent pas aux propos ***. combien de personnes ont assuré, combien de personnes de comprennent pas cette injustice car soit leurs prestations meritaient 12, soit des candidats ayant raté leur prestation s'etonnent encore de figurer parmis les reçus.

injustice, injustice, injustice!quand tu nous tiens

C'est sur que si tu n'es pas corse tu ne peux pas réussir ce concours.
C'est copinage et prébendes pour tous les candidats...

Censure, censure.... et encore, j'ai même plus la possibilité de banissement sinon tu y avais droit.
Tu peux évoquer ton ressenti en des termes non injurieux et sans t'en prendre aux autres posteurs.

je viens de laisser un message demandant à laxman que c'est bon , on a compris qu'il est intelligent etc....le message a été effacé

pfff a écrit:

je viens de laisser un message demandant à laxman que c'est bon , on a compris qu'il est intelligent etc....le message a été effacé

C'est clair, Pfff tu n'as pas compris mon message. Dommage...

la question n'est pas d'exceller dans son travail

la question est d'être un cadre supérieur de l'EN.

Je rappelle que les apaenes ont accès aux emplois fonctionnels. Depuis la disparition des casu, ils sont appelés à devenir sg d'académie, par exemple ; même s'il faudra encore un peu de temps pour y arriver (mais peut-être pas tant que ça...)

Alors, oui, l'apaenes est sélectif, car n'importe qui ne peut pas être sg d'académie. Moi, quand je vois le mien, je sais pourquoi il l'est et pourquoi moi je ne le suis pas encore

l'apaenes n'est pas un bâton de maréchal qui est dû à l'ancienneté; c'est un grade qui permet d'accéder à des postes de haut vol. C'est pour ainsi dire un recrutement.

DBM a écrit:

deception a écrit:

on ne sait toujours pas si choco et dbm l'ont eu.....je vois qu'ils ont toujours de l'humour.

Ah ben non, pas cette année, mais j'ai précisé hier que la personne qui voulait faire des recours contre les résultats ce n'était pas moi promiscrachéjuré
Pour tout exam, faut changer d'avatar et de nom: j'hésite encore entre un nom corse, gage de qualité, et un nom genre méthode coué, comme celui d'admise qui me plaît bien aussi...
Apachù me semble un bon mixte des 2?!

En tout cas le conseil de l'Iz est bien entré dans ma tête et ceux des autres aussi

Ce n'est pas une raison pour ne pas venir à L'Esen, comment déboucher le champagne sinon.