page 46-12251 du projet d'instruction, je cite :

"Sur ce crédit s'imputent les achats de denrées, es achats de repas confectionnés, les petites fournitures consommables (par exemple des serviettes en papier). Certains achats de petits matériels, linge, vêtements de travail, contrôles vétérinaires et d'hygiène, etc sont financés sur les crédits ouverts au titre des frais de fonctionnement du service."

nouveauté dans ce projet, l'imputation des dépenses des produits non-alimentaires immédiatement consommables (ce qui est le critère de différenciation avec les autres exemples énoncés) avec leur utilisation dans le crédit nourriture du 6011 ? Par analogie, les produits d'entretien vont-ils être déduits du crédits nourriture car consommés dès leur première utilisation et non pas imputés sur les 15% (ou autre taux) de charges générales comme le sont toutes les dépenses non alimentaires (pour ceux qui les gèrent au L/R2 lorsqu'elles sont identifiables) ?
Si d'aucun me confirme dans cette lecture du projet d'instruction, voilà un crédit nourriture encore diminué... après qu'il l'a déjà été avec les nouvelles règles nutritionnelles.

1- On s'en fiche du crédit nourriture.

2- M9 6 et notions de chapitre: tu pédales dans la semoule...

3- Je ne vois pas vraiment où est la nouveauté par rapport à maintenant.

On redit que les modalités de gestion du SAH et des charges du R2 sont désormais du ressort exclusif de la CT. La notion de crédit nourriture est de fait obsoléte.

Isaac Newton a écrit:

1- On s'en fiche du crédit nourriture.

2- M9 6 et notions de chapitre: tu pédales dans la semoule...

3- Je ne vois pas vraiment où est la nouveauté par rapport à maintenant.

Pas vraiment de nouveauté, si ce n'est que nous parlons ici de la M9 6, et donc de la RCBC et qu'un forum spécifique a été ouvert pour aborder ces questions.

En résumé : Au moins encore pour 2012 , ne pas confondre
RCBC
et
Gestion budgétaire et comptable

Je nuance vos propos Messieurs :
1- cette obsolescence n'est pas toujours réelle. Elle varie selon la marge d'autonomie laissée par la CT (qui toutes n'ont pas établi de carcan, y compris en matière de fixation des tarifs)
2- la notion de crédit nourriture me parait être un élément de gestion courante saine du service de restauration et même un excellent instrument d'audit (pour simplifier, on sait où l'on va)
3- donc, si d'un point de vue comptable la question parait futile, je n'aurai pas la même appréciation dans la gestion quotidienne du service et savoir comment la réglementation comptable peut influer sur tel ou tel poste m'intéresse et ainsi pouvoir envisager telle ou telle solution ou mode de gestion,
4- désolé Barbule, j'ai effectivement posté un peu vite dans la mauvaise rubrique
5- merci d'avoir répondu, ce sont de nouvelles pierres à ma réflexion...

C'est depuis longtemps qu'on intègre les serviettes et le jetable en général (le jetable du plateau, pas le jetable de la préparation) dans le crédit nourriture.
Sinon, effectivement, le suivi dépend des CT. Certaines sont plus directives que d'autres...

J'ai lu le passage signalé par Mad Max et c'est vrai qu'il semble anachronique (le passage, pas Mad Max ).

La détermination du "crédit nourriture" n'est plus intéressante que sous l'angle de la gestion, sans aspect normatif - sauf avis contraire d'une CT, mais cela ne concernerait que ceux qui relèvent de ladite CT - et plusieurs d'entre nous l'ont expliqué à diverses reprises.

Or la formulation extraite de la M96 que met en exergue notre petit camarade ne fait pas franchement apparaître cette évolution, elle exhale même un parfum légèrement rétro.

M96 a écrit:

...Sur ce crédit s'imputent les achats de denrées, les achats de repas confectionnés, les petites fournitures consommables (par exemple des serviettes en papier). Certains achats de petit matériel, linge, vêtements de travail, contrôles vétérinaires et d’hygiène, etc. sont financés sur les crédits ouverts au titre des frais de fonctionnement du service...

C'est surtout que la M9.6 a été écrite par ***

C'est un copier/coller de l'antique définition du chapitre E.
On a évolué...et je ne sais pas pourquoi sur le chapitre E R2 et dans le futur service gérant la restauration nous ne pourrions acheter que des salsifis et des serviettes en papier...
ça va être dur, de compte en T tout le monde...

Bozinchu a écrit:

C'est surtout que la M9.6 a été écrite par ***...

Mince, j'ai lu trop tard ou n@n@rd est intervenu trop vite, j'ai raté un nom d'oiseau.

La mouette est frustrée!

Nanard c'est mal me connaitre
je n'ai jamais insulté notre collègue de centrale
c'est un petit jeu entre nous
"le bellâtre avec son marteau" c'est pas une insulte

Je suis mort de rire... Remarque ça pourrait avoir un effet cocasse si je l'avais réellement écrit ce machin.

Je préfère "beau gosse" à "bellâtre" car je suis modeste. Et le marteau, c'est un symbole, une image... Pas je le précise.

On savait déjà que Le Forgeron avait inventé l'EPCP...

On vient d'apprendre qu'il n'a sans doute pas écrit le meilleur passage de la M9.6...
... ne nous dis pas qu'en plus, SCONET, c'est toi?!!

Et le montage financier des contrats aidés, t'es intervenu là-dessus?

Et la crise des subprimes?

Et la dette Grecque?

Et les frasques de Berlusconi? Et celles de DSK?

pfff...t'es naze...

... t'as oublié le sale temps cet été, le tremblement de terre au Japon, le volcan islandais, Lara Fabian,...

C'est vrai que c'est nocif un fonctionnaire de la centrale, quand on y pense...

Pour Lara Fabian, j'y avais pensé, mais je n'ai pas osé exposer le Forgeron aux foudres de Newton, il ne mérite quand même pas ça...

Y'a deux domaines pour lesquels je plaide coupable...

Dont Lara Fabian

De toute façon, je ne t'ai jamais apprécié. Cela confirme donc mon jugement infaillible sur les personnes.

Mad Max a écrit:

Je nuance vos propos Messieurs :
[...]
la notion de crédit nourriture me parait être un élément de gestion courante saine du service de restauration et même un excellent instrument d'audit (pour simplifier, on sait où l'on va)

Tu n'as pas besoin d'un outil règlementaire pour faire de la comptabilité analytique. Donc, je persiste et signe, le crédit nourriture, on s'en fiche. Ce qui compte, c'est l'"efficience" du service d'hébergement. En gros, et à la louche (instrument essentiel dans une restauration): "Est ce que j'encaisse assez de brouzouf pour faire tourner la boutique ? " A chacun après de se forger ses propres tableaux de bord.

J'espère donc, que d'ici la publication définitive de la M9 -6 , on aura un peu évolué sur cette rédaction.