Bozinchu a écrit:

Le lieu d'affectation ne veut pas dire (pour moi) dans l'établissement (intra-muros)

Le logement par NAS non plus...

Bozinchu a écrit:

et je connais des établissements où il n'y a pas de logement disponible....

ce cas de figure n'est pas précisé dans le décret

Bozinchu a écrit:

Ensuite rien n'indique non plus que c'est une NAS...

Celà se déduit : s'ils sont tenu de loger, sauf dérogation, c'est bien qu'il s'agit d'une nécessité absolue... la NAS se déduit...

Winnie a écrit:

Et ce texte parle des attachés uniquement. Et les SAENES ?

Cher ourséon (ça y est? matos réparé?) à l'origine, les SAENES ne devaient pas être gestionnaires...

pas mieux ...

ps : en attendant que ça se corse bien sur ....

ps2 (pas la console ...) : l'article 2 vise les attachés chargés de la gestion matérielle et financière d'un établissement ou des fonctions d'agent comptable et ne correspond donc pas formellement ni complètement à ce que j'avais affirmé par ailleurs...

ps3 (Cf infra) : donc pareil que ceusses qui me prècèdent ...

@ Dupont : va dire ça à tous les SAENES gestionnaires, tu vas te faire des amis.
(matos réparé )

Dupond a écrit:

à l'origine, les SAENES ne devaient pas être gestionnaires...

A l'origine de quoi ?
Il y a toujours eu des saenes (sasu) gestionnaires et probablement en plus grand nombre que des adaenes (quasiment tous les établissements de moins de 500 élèves).

Ton texte est insuffisant .

Ce n'est pas un jugement de valeur, c'est un fait : historiquement, l'intendance des établissement d'enseignement ne devait être confiée qu'à des attachés, et exceptionnellement à des SAENES*. La flemme de retrouver le texte

Edit : * : a des SASU, d'ailleurs, à l'époque

Il est exact qu'il fut un temps ou la revendication syndicale était que gestionnaire = attaché. C'était avant mon arrivée à l'EN: c'est dire si c'est vieux.

[quote="
Edit : * : a des SASU, d'ailleurs, à l'époque[/quote]

non des S.I.U ! auparavant on distinguait les Secrétaires d'Intendance Universitaire ,des S.A.U. Secrétaires d'Administration Universitaire.!

c'était il y a bien longtemps!

Il y a eu un gars sur le forum , il n'y a pas longtemps, qui prétendait attaquer le ministère au TA pour faire reconnaitre cela et qu'après son action tous les GM serait des A
Je lui avait dit que je voyais plutôt le contraire...

Ah oui, j'avais oublié, ça.
Pour ceux que ça intéresse c'est ici.

Bon, c'est pas tout ça, mais mes 30 000 points alors?!!

Bozinchu a écrit:

Il y a eu un gars sur le forum , il n'y a pas longtemps, qui prétendait attaquer le ministère au TA pour faire reconnaitre cela et qu'après son action tous les GM serait des A...

Winnie a écrit:

Pour ceux que ça intéresse c'est ici.

Faut avouer que la position de francismeneu ne manque pas d'intérêt.
Si on est à peu près tous d'accord pour reconnaître que le ratio de gestionnaires assurant convenablement leurs fonctions est le même chez les cat B et A, la situation actuelle est pour le moins absurde :
- des gestionnaires SAENES, ADAENES, APAENES (voire ADJAENES selon un post précedant)
- des AC ADAENES, APAENES, CASU
(on pourrait même ajouter les doc et cpe devenus CE, mais je m'égare)
... situation, ne l'oublions pas, dont nous sommes tous responsables selon les intérêts du moment (administration, syndicats, fonctionnaires...)
En résumé, un beau bord*l !

LMDV/LG a écrit:

Et c'est reparti pour les mêmes chansons. (...)
Quand on choisit une voie, on prend les avantages et les inconvénients (fort relatifs en plus), on ne fait pas le tri. Si les avantages du début deviennent les inconvénients d'après, c'est peut-être qu'il est temps de changer de voie, pas que la voie doit être changée pour s'adapter aux nouvelles exigences de chacun. (...) (la mise en gras est de moi)
Puisqu'on en est à avoir des considérations de haute volée, je dirais que c'est une polémique qui finira par se retourner contre nous et qu'il y aura plus de perdants que de gagnants (si il y a des gagnants).

Polémique qui revient comme qui dirait à scier la branche sur laquelle les collègues sont assis. Ou à leur tirer une balle dans le pied.
Que ceux qui trouvent de très bonnes raisons pour ne pas vouloir loger (au point de contester les raisons pour pourraient les obliger - le vilain mot - à loger), n'oublient pas que pour certains collègues, le logement est un accessoire non négligeable. Tout le monde n'a pas les moyens financiers de se payer un logement extérieur.
Quand on arrive dans une région inconnue le 02 septembre (ben oui, les premières nominations, c'est pas toujours là ou on a grandi), il est bien pratique de trouver un toit déjà pourvu en abonnements à tous les fluides necessaires (eau, électricité) sans devoir se trouver un hôtel (pas trop cher, parce que les premières payes, c'est quand même limité et que quand on démarre, la paye, on ne l'a pas encore touchée ... ) avant de courir les agences. De même, habiter sur place peut présenter des avantages personnels et professionnels que je ne listerai pas.
Accessoirement, pour ne parler que du gestionnaire, un de ses rôles est de veiller à la sécurité et l'entretien du site. Et on ne voit pas les choses de la même manière si on ne fait qu'y travailller (même si c'est 50 heures/ semaine) ou si on y habite. (pour moi, arriver après un collègue non logé, c'est avoir le logement le plus pourri, et des arbres si près des fenêtres que l'on peut en attraper les feuilles sans de pencher)
Chers collègues, arrétez de vous regarder le nombril et de psychoter sur les raisons qui pourraient pousser des collègues sadiques dans les IA à vous refuser votre dérogation. Interrogez vous sur le pourcentage de dérogations refusées. Infime à mon avis. Agissez au lieu de vous faire des noeuds dans le cerveau et des aigreurs d'estomac. Demandez là, cette fichue dérogation. Et si (et seulement si) vous ne l'avez pas, vous verrez si vous logez quand même ou si vous faites comme certains collègues ou CE, vous n'occupez pas votre logement sans avoir obtenu de dérogation.
Les détracteurs des logements de fonction, dont certains nous lisent sans doute, n'ont pas besoin qu'on leur donne les arguments pour nous retirer cet avantage (relatif, peut être), à nous et à tous les corps de fonctionnaires logés, à l'EN comme ailleurs.
Je ne m'énerve pas, j'explique ...

en région parisienne le logement de fonction est un avantage non négligeable

en province ce l'est beaucoup moins

les 20 minutes de trajet (coupure) qui me sépare de mon bural , ne plus avoir à réagir lors du déclenchement de l'alarme , ne plus le dimanche matin voir la cour de récréation en prenant mon café , ne plus croiser mon secrétaire , ma chef , l"adjointe , l'att de première classe quand je sort ma poubelle ou quand je rentre bourré...

c'est un luxe que je paye avec plaisir

cella dit j'ai encore le réflexe de me lever la nuit quand j’entends une alarme , et je ne peut m’empêcher de penser à faire pleins de truc à l'op quand je me ballade dans ce rectorat