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 Indemnité de résidence et mi-traitement

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L'intendant zonard
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L'intendant zonard


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MessageSujet: Indemnité de résidence et mi-traitement   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeLun 24 Jan 2011 - 18:22

Bonsoir les aminches,

J'ai un souci technique avec un personnel qui a lui un gros souci de santé et se retrouve à mi-traitement. On me demande si l'indemnité de résidence est elle aussi à diviser par deux, mais franchement, je sèche.

Mon coeur compatissant aurait tendance à penser que l'intéressé n'a pas déménagé dans une maison qui serait construite à cheval sur la frontière de l'Île de France pour marquer le coup, mais mon cerveau dérangé de comptable n'a pas envie de se prendre un débet pour paiements non justifiés...

_________________
Parce que l'intendance, c'est la zone.
Animateur des rubriques Greta et OpenAcadémie, quatrième au classement du GJQ du mois de février 2019. Testé et approuvé par VI (le seul, le vrai) :


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riel


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MessageSujet: Re: Indemnité de résidence et mi-traitement   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeLun 24 Jan 2011 - 19:40

L'intendant zonard a écrit:
Bonsoir les aminches,

J'ai un souci technique avec un personnel qui a lui un gros souci de santé et se retrouve à mi-traitement. On me demande si l'indemnité de résidence est elle aussi à diviser par deux, mais franchement, je sèche.

Mon coeur compatissant aurait tendance à penser que l'intéressé n'a pas déménagé dans une maison qui serait construite à cheval sur la frontière de l'Île de France pour marquer le coup, mais mon cerveau dérangé de comptable n'a pas envie de se prendre un débet pour paiements non justifiés...

j'ai trouvé ca http://vosdroits.service-public.fr/F12565.xhtml

sinon une circulaire qui conclut au maintien complet de l'indemnité mais elle date de 1953
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MessageSujet: Re: Indemnité de résidence et mi-traitement   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeLun 24 Jan 2011 - 20:18

Voici study

Rémunérations
En cas de maladie d'origine non professionnelle
Le fonctionnaire conserve l'intégralité de son traitement indiciaire pendant 3 mois.
Pendant les 9 mois suivants, il est rémunéré à demi-traitement.
Le supplément familial de traitement (SFT) et l'indemnité de résidence continuent d'être versés en intégralité durant toute la période de congé.


Source
Service-Public.fr
ici


touïteur
.
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L'intendant zonard
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MessageSujet: Re: Indemnité de résidence et mi-traitement   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeLun 24 Jan 2011 - 23:38

Vous êtes super, mais vous n'êtes pas d'accord entre vous !

La page signalée par Riel dit :

http://vosdroits.service-public.fr/F12565.xhtml a écrit:
En cas de maladie, lorsque le fonctionnaire est rémunéré à demi-traitement (...)

Ces indemnités journalières sont égales à :

* la moitié (ou les 2/3 si l'agent a 3 enfants ou plus à charge) du traitement et des primes et indemnités(...)
* la moitié (ou les 2/3 si l'agent a 3 enfants ou plus à charge) :
o de l'indemnité de résidence perçue au moment de la mise en congé (...)

Et la page signalée par les clônes dit :
http://vosdroits.service-public.fr/F490.xhtml#N100C3 a écrit:
Le fonctionnaire conserve l'intégralité de son traitement indiciaire pendant 3 mois.

Pendant les 9 mois suivants, il est rémunéré à demi-traitement.

Le supplément familial de traitement (SFT) et l'indemnité de résidence continuent d'être versés en intégralité durant toute la période de congé.

Les deux parlent des fonctionnaires, les deux pages viennent du même site du ministère de la fonction publique, vraiment du beau travail ! Et aucune des deux pages ne me permet de simplement remonter au texte applicable.

En fin de compte, en fouillant, je trouve la Loi n°84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat / Chapitre V : Positions / Section I : Activité / Sous-section I : Dispositions générales / article 34

art 34 a écrit:
Le fonctionnaire conserve, en outre, ses droits à la totalité du supplément familial de traitement et de l'indemnité de résidence.

Naturellement, le Décret n°86-83 du 17 janvier 1986 relatif aux dispositions générales applicables aux agents non titulaires de l'Etat pris pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat ne dit rien sur la question, donc je vais appliquer ce que dit la loi de 84.

Et il est 23 h 30. On fait un boulot merveilleux, puisque je vous le dis !

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MessageSujet: Re: Indemnité de résidence et mi-traitement   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 0:01

Indemnité de résidence et mi-traitement 0

Adressez-vous aux renseignements, ils vous renseigneront !

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MessageSujet: Re: Indemnité de résidence et mi-traitement   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 0:57

petite analyse juridique perso , de bazar ( après réflexions )


le traitement est une rémunération , je bosse à 50 % , je perçoit 50 % c'est normal ( application de la règle du service fait )



l'indemnité de résidence comme le sft n'est pas liée à la rémunération mais à une situation personnelle ( lieu de résidence , nombre d'enfants à charges)

Donc aucun lien avec la quotité de travail .

exemple empirique , je fais gréve une journée , j' aurai une retenue d'un trentième sur mon traitement brut , mais uniquement sur mon traitement .
pas sur mon sft ni mon indemnité de résidence ( si des collègues grévistes peuvent confirmer ?)

en appui , je poste quand même le lien de cette circulaire certes vieille ( j'étais pas né ) , mais pas trop mal écrite , et venant d'un organisme plutôt sérieux .

2. Nous rappelons à cet égard que la circulaire 39-7 B/4 du 9 juin 1951 tient déjà compte de cette préoccupation puisqu’elle autorise le maintien intégral du supplément familial de traitement en cas de congé de maladie ordinaire à demi-traitement.

Par contre, aucune modification n’a été apportée à la circulaire du 19 juillet 1948 qui précisait expressément que, dans cette hypothèse, la part non familiale de l’indemnité de résidence devait être réduite de moitié. Les prescriptions de cette circulaire déjà ancienne se trouvent en contradiction latente avec les différentes positions analysées ci-dessus et il en est résulté, suivant les administrations, certaines divergences dans les droits reconnus aux agents en congé de maladie à demi-traitement.

Afin d’y mettre fin, nous vous indiquons qu’il nous est apparu logique d’appliquer le même principe dans tous les cas où un congé statutaire est octroyé pour raison de santé indépendamment de la nature de la maladie qui y a ouvert droit. Désormais, la totalité de l’indemnité de résidence sera donc versée aux fonctionnaires placés en congé de maladie à demi-traitement ou mis d’office en disponibilité rémunérée pour raison de santé.


http://www.dsi.cnrs.fr/RMLR/textesintegraux/volume5/531231-cirfp-407etF1-34.htm


pour les éventuels contradicteurs qui argueraient de la faible valeur juridique d'une circulaire ( et ils ont raisons ) je répondrai que quand le droit est flou ( comme en l'espèce ) la circulaire est une bonne source de droit .

et je n'est pas connaissance d'un comptable du CNRS mis en débet sur ce point










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itar
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MessageSujet: Traitements et congés maladie_CONTRACTUELS   Indemnité de résidence et mi-traitement Icon_minitimeVen 18 Mar 2011 - 19:56




Principe



En cas de maladie médicalement constatée le mettant dans
l'impossibilité d'exercer ses fonctions, l'agent non titulaire en
activité a droit à des congés de maladie.






Coordination entre régimes de protection sociale



Les agents non titulaires dépendent du régime général de
la sécurité sociale. En cas d'arrêt de travail, ils perçoivent les
indemnités journalières versées par l'assurance maladie.
Toutefois, leur statut d'agent non titulaire de la
fonction publique leur assure, sous certaines conditions, le maintien de
leur plein traitement ou de leur demi-traitement.
Lorsqu'ils bénéficient d'un tel maintien, les indemnités
journalières sont déduites du plein ou du demi-traitement assuré par
l'administration.
A cet effet, les agents doivent communiquer à leur
employeur le montant des indemnités journalières qu'ils perçoivent.
L'administration peut suspendre le versement du
traitement jusqu'à la transmission de ces informations.







Ouverture du droit à congé



Pour obtenir un congé de maladie ordinaire ou son
renouvellement, l'agent non titulaire doit adresser dans les 2 jours
suivant la date d'interruption du travail :



  • les volets n° 1 et 2 de son avis d'arrêt de
    travail à sa caisse primaire d'assurance maladie,

  • le volet n° 3 à son administration employeur.








Durée du congé et rémunération



La durée du congé de maladie s'apprécie sur une période
de 12 mois consécutifs (ou de 300 jours en cas de services discontinus).
Cette période de référence de 12 mois (ou 300 jours) est
mobile et s'apprécie de date à date ; tous les jours calendaires sont
pris en compte.
La durée du congé de maladie avec maintien du plein ou du
demi-traitement dépend de l'ancienneté de l'agent dans la fonction
publique :
Tableau 1 relatif à la fiche F491 Ancienneté Durée du congé de maladie
Après 4 mois de services
1 mois à plein traitement et 1 mois à 1/2
traitement
Après 2 ans de services
2 mois à plein traitement et 2 mois à 1/2
traitement
Après 3 ans de services
3 mois à plein traitement et 3 mois à 1/2
traitement

Dans la fonction publique d'État, les primes et
indemnités sont versées dans les mêmes proportions que le traitement
indiciaire (en intégralité puis réduites de moitié), à l'exclusion des
primes et indemnités non forfaitaires ayant le caractère de
remboursement de frais ou liées à l'organisation et au dépassement des
horaires de travail.
Toutefois, lorsqu'il est prévu qu'elles puissent être
modulées en fonction des résultats et de la manière de servir ou
qu'elles puissent être suspendues en cas de remplacement de l'agent en
congé de maladie, ces modulations ou suspensions sont normalement
appliquées. 
Dans la fonction publique territoriale, les conditions de
suspension ou de maintien des primes et indemnités sont définies par
délibération de la collectivité territoriale.
Dans la fonction publique hospitalière, aucune
disposition ne fixe les règles de maintien ou de suspension des primes
et indemnités.
L'agent non titulaire qui ne justifie pas de l'ancienneté
suffisante, pour bénéficier d'un congé de maladie rémunéré à plein ou à
demi-traitement, est :



  • placé en congé sans traitement pour une durée
    maximale d'un an si l'incapacité d'exercer ses fonctions est temporaire,

  • ou licencié si l'incapacité de travail est
    permanente.


Lorsqu'il est placé en congé sans traitement, l'agent perçoit,
s'il remplit les conditions requises, les

de la sécurité sociale.








Maladie professionnelle et accident du travail




En cas d'accident du travail ou de maladie professionnelle,
l'agent non titulaire bénéficie d'un congé pendant toute la période
d'incapacité de travail précédant sa guérison complète ou la



de sa blessure.

Durant ce congé, il perçoit son plein traitement pendant :



  • 1 mois dès son entrée en fonctions,

  • 2 mois après 2 ans de services (1 an dans la
    fonction publique territoriale),

  • 3 mois après 3 ans de services.

Au terme de la période à plein traitement, l'intéressé
bénéficie des indemnités journalières de la Sécurité sociale.
L'agent a en outre droit au remboursement des honoraires
médicaux et des frais directement liés à la maladie ou l'accident.







Effets des congés de maladie sur la situation de l'agent



Le temps passé en congé de maladie, à plein ou
demi-traitement, est pris en compte pour la détermination des avantages
liés à l'ancienneté.
Il compte également pour la détermination du droit à la
retraite et donne lieu à cotisations.







Contrôle pendant le congé



L'administration employeur peut faire procéder à tout
moment à une contre-visite de l'agent par un médecin agréé.
L'intéressé doit s'y soumettre, sous peine d'interruption
du versement de sa rémunération.
Si le médecin agréé conclut à l'aptitude à la reprise des
fonctions, l'employeur a la possibilité d'enjoindre l'agent de
reprendre son travail.
Les conclusions du médecin agréé peuvent être contestées
par l'agent ou l'administration devant le comité médical compétent.
L'agent peut aussi être contrôlé par le médecin
contrôleur de sa caisse d'assurance maladie.







Fin du congé



A l'issue de son congé
rémunéré
de maladie,




  • Si l'agent est apte à reprendre ses fonctions, il
    est réaffecté sur son emploi précédent dans la mesure permise par le
    service. A défaut, il dispose d'une priorité pour être affecté sur un
    emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente,

  • Si l'agent est temporairement inapte, il est
    placé en congé sans traitement pour une durée maximum d'un an.
    Cette durée peut être prolongée de 6 mois, s'il
    résulte d'un avis médical qu'il sera susceptible de reprendre ses
    fonctions à l'issue de cette période complémentaire.
    Durant ce congé sans traitement, l'agent continue
    de percevoir, s'il remplit les conditions requises, les indemnités
    journalières de la sécurité sociale.

  • Si l'agent est définitivement inapte, il est
    reclassé dans un autre emploi ou licencié.

A l'issue d'un congé
non rémunéré
de maladie (accordé en l'absence de droits à congé rémunéré ou à
l'expiration des droits à congé rémunéré),




  • Si l'agent est apte à reprendre ses fonctions, il
    est réaffecté sur son emploi précédent dans la mesure permise par le
    service. A défaut, il dispose d'une priorité pour être affecté sur un
    emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente.
    Lorsque la durée de ce congé est égale ou
    supérieure à un an, l'agent non titulaire ne peut être réemployé que
    s'il en fait la demande au plus tard un mois avant l'expiration de son
    congé. A défaut, il est considéré comme démissionnaire.

  • Si l'agent est définitivement inapte, il est
    reclassé ou licencié.








Temps partiel thérapeutique



Sur prescription de son médecin traitant, l'agent non
titulaire peut être autorisé, durant une période maximale d'un an, à
reprendre ses fonctions à temps partiel pour raison thérapeutique.
Le temps partiel thérapeutique peut être accordé soit :



  • parce que la reprise des fonctions à temps
    partiel est jugée favorable à l'amélioration de l'état de santé de
    l'agent,

  • parce que l'intéressé doit faire l'objet d'une
    rééducation ou d'une réadaptation professionnelle pour retrouver un
    emploi compatible avec son état de santé.

C'est le médecin traitant qui fixe le pourcentage
d'activité.
Cette reprise du travail à temps partiel doit avoir reçu
l'accord de l'assurance maladie.
Le salaire correspondant à la quotité de travail est
complété, dans la limite du plein traitement, par des indemnités
journalières de la sécurité sociale.
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