La même demande m'avait été faite, et ceci pour des raisons de confidentialité. l'agent d'accueil ou toute personne qui passe la communication, ou qui lit le cahier des messages n'a pas à savoir que telle ou telle famille a un problème, a besoin de l'assistante sociale.
Ni à raconter sa vie pour que l'agent d'accueil ou toute autre personne comprenne que la personne au bout du fil veut parler à l'assistante sociale.
Et rajouter le répondeur qui va avec, pour les messages quand elle n'est pas là.
dixit Colombane
Idem. C'est la même position de principe ici.
La confidentialité et la protection des données recueillies.
Pour l'AS comme pour l'infirmière, lignes directes.
Mais il a fallu l'expliquer dans les bureaux quand l'AC-GM, débarquant à son nouveau poste, ayant repéré des anomalies pas tristes dans de nombreuses lignes directes vers l'extérieur, anomalies venant d'administratifs, logés et non logés, a décidé que les lignes directes seraient supprimées (des bureaux comme des logements), ne restant ouvertes sur le monde entier que celles des bureaux de l'intendant et du CE. Et pour la France, celles des bureaux de l'AS et de l'infirmière. Les autres bien restreintes, passant par le standard, ou supprimées.
S'il y a abus téléphonique, on le sait tôt ou tard.
L'usage privé abusif est vite repéré si on souhaite le repérer ou que l'on ait des doutes.
En contrepartie - plus exactement en parallèle - d'un bon équipement professionnel et d'un nécessaire confort d'usage, il y a dès là la possibilité pour le bahut d'exiger professionnalisme de ces électrons quelque peu libres (par nécessité autant que par goût). Pour les ceusses qui en doutent a priori, les réunions - hebdomadaire ou de quinzaine -de suivi des élèves et de fond social permettent vite de jauger l'usage des moyens téléphoniques à l'aune des résultats.
Question perruques, coules et abus, il y a meilleures chasses à faire. Enfin à mon avis.
Pacific.