Isaac Newton a écrit:

A ce propos, je me tâte pour 2010. J'ai dans l'idée d'asseoir le pourcentage du reversement du SAH au SG non plus sur les recettes du SAH mais sur les dépenses réelles du B, en appliquant un ratio lié à la surface des locaux du SAH et aux périodes d'ouverture.

Mais je me demande si c'est une bonne idée...

S'il y a un coup de froid, tu risques d'étrangler ton crédit nourriture.

Oui, c'est ce à quoi je pensais. Le problème, c'est qu'en cas de coup de froid, c'est le SG qui est étranglé, en prenant à sa charge le surcout...

c'est pourtant ce qu'il conviendrait de faire.
LA solution c'est si possible de mettre des compteurs individualisés. Je me suis souvent interrogé sur la façon de sortir un%. Une histoire de magicien sans doute.

mais tu as déjà payé de la viabilisation sur le R2

ou ta viabilisation est toute sur le service général ?


Dans mon cas, je mandate toute la viabilisation sur le service général et je régularise en fin d'année avec la dbm 27. J'ai une plus value au 7588 et ça va dans les réserves.
Si je manque de crédits au chapitre B, je fais un prélèvement sur les réserves.

Maudinou a écrit:

mais tu as déjà payé de la viabilisation sur le R2

ou ta viabilisation est toute sur le service général ?

A qui s'adresse la question, belle enfant ?

Isaac Newton a écrit:

Maudinou a écrit:

mais tu as déjà payé de la viabilisation sur le R2

ou ta viabilisation est toute sur le service général ?

A qui s'adresse la question, belle enfant ?

Tu dragues ma copine toi ?

Ben quoi, z'êtes pas mariés, à ce que je sache...

Citation :

A qui s'adresse la question, belle enfant ?

à Laurette pardon

Mais vous êtes toute excusée, très chère.

Maudinou a écrit:

Citation :

A qui s'adresse la question, belle enfant ?

à Laurette pardon

Réponds pas au rosbif Maudichou, c'est un pervers....

comète a écrit:

et puis d'abord les autres je vous cause pas
je ne parlais qu'au Monsieur corse qui m'avait prêté des pensées et pratiques qui n'étaient pas les miennes
alors si lui il a compris, moi je retourne à mon mandat

je pense avoir compris
j'espère que tu ne m'as pas attendu pour finir ton mandat parce qu'à cette heure tardive

Isaac Newton a écrit:

Oui, c'est ce à quoi je pensais. Le problème, c'est qu'en cas de coup de froid, c'est le SG qui est étranglé, en prenant à sa charge le surcout...

Gars du Doubs a écrit:

c'est pourtant ce qu'il conviendrait de faire.

Maudinou a écrit:

mais tu as déjà payé de la viabilisation sur le R2

on rigole on se gosse mais il faut quand même préciser pour les petits nouveaux que le but du transfert du R2 vers le B n'est pas de payer le chauffage du lycée.
Mais de payer les fluides (eau gaz et électricité) nécessaire au fonctionnement de la cantoche...
Il ne faut pas faire payer aux parents le chauffage des salles de classes du fait de manque de subvention de la CT....

Il fait comment le comptable pour ne pas rejeter le mandat au R2 6588,
parce que pour moi les bases de la liquidation sont :
(recettes réellement constatées pour les élèves et commensaux) x (% de charges communes)

Tout autre calcul me semble insastifaisant et donc à rejeter.

Donc mon idée est à rejeter ? C'est pas sympa.

Ceci dit, pour reprendre l'argumentaire de l'ami corse, le reversement est destiné, en l'absence de compteurs individuels, à payer la part du R2 de la viabilisation. Or cette part ne correspond pas à un pourcentage de recettes mais bien à une consommation. Le calcul envisagé s'appuie ainsi sur un ratio prenant en compte la surface des locaux d'hébergement et de restauration par rapport à la surface totale ainsi que le temps d'occupation de ces mêmes locaux. Ce ratio serait appliqué aux dépenses réelles du chapitre B observées en fin d'année.

Le risque est effectivement en cas de grand froid de plomber le R2. Mais dans l'absolu, je ne vois pas en quoi ce serait insatisfaisant. Quelque soit le nombre de rationnaires ou d'internes, les dépenses de viabilisation du R2 sont bien réelles. Dans le cadre d'une comptabilité analytique, il faut les prendre en compte et ne pas se contenter d'appliquer un pourcentage sur des recettes, qui ne correspond à rien en terme de contrôle de gestion.

A tout prendre, c'est d'ailleurs le mode de calcul que tu évoques qui est insatisfaisant. Je le dis d'autant plus sereinement que c'est celui que j'utilise actuellement.

Isaac Newton a écrit:

Dans le cadre d'une comptabilité analytique

c'est ce qui fait trop souvent défaut chez nous (et chez moi)
on est incapable de donner le coût réel de fonctionnement d'un service
Si ce n'est un coût élève (dépense totale / nombre d'élève) qui ne correspond pas à grand chose....

Isaac Newton a écrit:

Donc mon idée est à rejeter ? C'est pas sympa.

Ceci dit, pour reprendre l'argumentaire de l'ami corse, le reversement est destiné, en l'absence de compteurs individuels, à payer la part du R2 de la viabilisation. Or cette part ne correspond pas à un pourcentage de recettes mais bien à une consommation. Le calcul envisagé s'appuie ainsi sur un ratio prenant en compte la surface des locaux d'hébergement et de restauration par rapport à la surface totale ainsi que le temps d'occupation de ces mêmes locaux. Ce ratio serait appliqué aux dépenses réelles du chapitre B observées en fin d'année.

Le risque est effectivement en cas de grand froid de plomber le R2. Mais dans l'absolu, je ne vois pas en quoi ce serait insatisfaisant. Quelque soit le nombre de rationnaires ou d'internes, les dépenses de viabilisation du R2 sont bien réelles. Dans le cadre d'une comptabilité analytique, il faut les prendre en compte et ne pas se contenter d'appliquer un pourcentage sur des recettes, qui ne correspond à rien en terme de contrôle de gestion.

A tout prendre, c'est d'ailleurs le mode de calcul que tu évoques qui est insatisfaisant. Je le dis d'autant plus sereinement que c'est celui que j'utilise actuellement.

Tu as raison sur le fond.

Mais, dans les faits, le suivi du crédit nourriture est "à risques", plus que celui du chapitre B quand il est bien calibré au budget initial, et rajouter au R2 l'aléa climatique à celui des recettes estimatives (sans parler de l'évolution parfois brutale du coût des denrées), c'est rajouter un risque et se compliquer la vie...

Cela dit, c'est vrai que ça a plus de sens comptablement.

J'adore les risques.

Ceci dit, les collègues qui disposent de compteurs spécifiques les assument bien ces risques...

Je rappelle qu'avec la DBM 27 obligatoire en fin d'exercice, il est indispensable au dernier trimestre de suivre son crédit nourriture en se basant sur les recettes réelles. Des outils pour ça sont disponibles dans l'espace réservé du site.