IA et Rectorat

avis à ceuss et ceusses qui ont exercé des fcts en IA ou en Rectorat. Quel est la réalité du travail? un exemple de dossier à traiter ou de journée?
Merci d'avance

difficile de répondre car cela dépend énormément des services
Certains auront des surcharges de travail à un moment, d'autre un travail régulier tout au long de l'année.
Cela dépendra également de ton niveau d'irresponsabilité
Maintenant tu travailleras surement moins qu'un gestionnaire en volume au vu de mes expériences passés (gestion de profs, gestion du bac, ...) maintenant à l'époque je n'était que contractuel et Sasu, mais les attachés au dessus ne faisait pas beaucoup plus que moi. sauf à vouloir se montrer et à montrer combien ils étaient débordés. J'ai assurer l'interim d'un attaché partie en congés maternité et ce n'était pas violent. Au final je n'ai jamais fait d'heures sup non récupérées même en periode de mouvement des profs.
Pour ce qui est des taches pareil inventaire à la Prévert. Aux services des pensions tu ne traiteras que des dossiers de pensions. En gestions des profs tous les aspects d'une carrières seront traités y compris la paye, aux Examens tu auras à gérer un concours ou un examen ou une partie du dossier si il s'agit d'un gros truc genre bac. Au final tu auras fait le tour de la question en 1 ou 2 ans, ensuite tu recommenceras année aprés année sauf modif réglementaire

Ouh ! Pas facile la question.
Je crois que ça dépend d'une part du service comme le dit si bien le Gars du Doubs, et d'autre part du tempérament de la personne.
J'ai travaillé un an en rectorat et je peux dire que je n'ai pas chômé, de la même manière que d'autres personnes. Dans un des deux services où je travaillais, il n'y avait pas d'horaires. Dans le second, il y avait la chef de bureau qui ne comptait pas ses heures et des secrétaires qui elles comptaient un peu plus (mais qui irait les blâmer vu leur salaire), bref dans l'ensemble c'étaient des personnes dévouées.
En revanche dans des services du personnel notamment, là j'ai vu des gros bosseurs mais aussi des tire-au-......
Aux exams et concours j'ai vu des gens qui ont des pics de travail suivant la période de l'année et qui font pratiquement les 3 x 8 en période d'examens. Aussi le reste de l'année ils peuvent être plus cools, mais je ne leur jette pas la pierre.
Le pire que j'ai vu est un service de gestion des personnels du Supérieur. Si la question est de chercher une planque, je crois que c'est là.
Bref la réalité du travial est difficle à évaluer.

Pour sara_sidle :
Le but en fait est d'envisager un changement complet de carrière car aprés une petite dizaine passée en tant que GC en Lycée et en Collège, je trouve que je tourne en rond.
De +, le logement de fct commence à me peser sérieux ainsi que l'isolement induit par nos fcts au sein de l'EPLE et avoir des collègues partageant le même type de pb pourrait être assez sympa.
Maintenant, c'est sur que si je quitte un EPLE pour un service déconcentré se sera pour un poste de chef de div. en IA .La transition vers un poste de chef de bureau serait trop dure.
En fait, ce qui m'inquiète, c'est que je ne sais pas vraiement dans quoi je m'engage. Passer d'un statut de "professionnel reconnu" durement gagné à celui de "newbie" peut faire peur mais justement je pense qu'il faut passer ce cap assez jeune.
Les perspectives en serv. déconcentrés me semble aussi plus porteuses pour l'avenir.
Enfin qui vivra verra:lol!:

jojo a écrit:

Pour sara_sidle :
Le but en fait est d'envisager un changement complet de carrière car aprés une petite dizaine passée en tant que GC en Lycée et en Collège, je trouve que je tourne en rond.
De +, le logement de fct commence à me peser sérieux ainsi que l'isolement induit par nos fcts au sein de l'EPLE et avoir des collègues partageant le même type de pb pourrait être assez sympa.
Maintenant, c'est sur que si je quitte un EPLE pour un service déconcentré se sera pour un poste de chef de div. en IA .La transition vers un poste de chef de bureau serait trop dure.
En fait, ce qui m'inquiète, c'est que je ne sais pas vraiement dans quoi je m'engage. Passer d'un statut de "professionnel reconnu" durement gagné à celui de "newbie" peut faire peur mais justement je pense qu'il faut passer ce cap assez jeune.
Les perspectives en serv. déconcentrés me semble aussi plus porteuses pour l'avenir.
Enfin qui vivra verra:lol!:

Une collègue l'a fait : GM pendant des années, elle est passée à Jeunesse et Sport (à un moment où Jeunesse et Sport était intégré dan sl'éducation nationale, c'est vrai que ça change souvent) et elle est RAVIE : elle a des horaires, certes un peu élastiques en fonction des manifestations, mais elle n'est plus "corvéable" comme elle le disait, car on ne l'appelle plus pour une fuite d'eau ou un bug du réseau informatique ou une panne de chambre froide.

Je pense que la réalité du travail dépend aussi bien du type de service dans le quel on travaille que des personnes, de leur capacité à s'adapter, de leur volonté de s'investir. Pour le type de service, le problème est qu'on est d'abord nommé en IA ou Rectorat et qu'on sait ensuite dans quelle division... C'est donc un peu aléatoire. Mais si vous avez envie de changer, FONCEZ. Les possibilités sont immenses.

En stage actuellment en Rectorat après 10 ans en EPLE. Pas le même rythme... Des disparités entre services... Mais apparemment moins de sollicitations permanentes et puis le soir lorsqu'on part, la journée est finie... On ne passe pas sa vie au bureau...

jojo a écrit:

Pour sara_sidle :
Le but en fait est d'envisager un changement complet de carrière car aprés une petite dizaine passée en tant que GC en Lycée et en Collège, je trouve que je tourne en rond.
De +, le logement de fct commence à me peser sérieux ainsi que l'isolement induit par nos fcts au sein de l'EPLE et avoir des collègues partageant le même type de pb pourrait être assez sympa.
Maintenant, c'est sur que si je quitte un EPLE pour un service déconcentré se sera pour un poste de chef de div. en IA .La transition vers un poste de chef de bureau serait trop dure.
En fait, ce qui m'inquiète, c'est que je ne sais pas vraiement dans quoi je m'engage. Passer d'un statut de "professionnel reconnu" durement gagné à celui de "newbie" peut faire peur mais justement je pense qu'il faut passer ce cap assez jeune.
Les perspectives en serv. déconcentrés me semble aussi plus porteuses pour l'avenir.
Enfin qui vivra verra:lol!:

Pour le partage des problèmes avec les sympatoches collègues : laisse béton. C'est chacun-e pour soi et les emmerdements avec... Et je sais de quoi je parle : j'y suis.
Sur l'avenir des services déconcentrés : laisse béton. Dans 10 ans le recteur signera peut-être encore les diplôme du bac, mais guère plus. Les collectivités ne vont pas continuer à financer les EPLE, les TOS et tutti frutti sans un jour prendre la main sur le reste (ce n'est que mon avis). Et s'il faut gratter des postes, le recteur commence à élaguer chez lui avant de s'attaquer aux EPLE (je perd un poste par an et je "gagne" une mission en plus par an). Le seul avantage c'est peut être de ne pas loger sur son lieu de travail (mais faut voir l'approche financière derrière)...

ghp a écrit:

Le seul avantage c'est peut être de ne pas loger sur son
lieu de travail (mais faut voir l'approche financière
derrière)...

J'en rêve... Non, sérieusement, je serais ravie de bosser en agence comptable, mais sans logement
(et donc sans les alarmes, et tous les incidents qui font le sel de
notre profession et qui commencent à salement me cacahouéter le
risotto). Après un passage éclair en IA, j'ai trouvé le taf' beaucoup
plus monotone qu'en établissement, avec des pics d'activité (DEC), mais
ma qualité de vie était bien meilleure. Tout cela est essentiellement
affaire de choix personnels.