lettre observation budget : modifications à effectuer

Bonjour,

je viens de recevoir la notification de mon budget (oui c'est comme ça ici, très loin...enfin bref).

On me demande de :
- changer le nom d'un service
- changer le nom d'une activité (s'il n'y avait que ça, j'aurais fait une DO après avoir validé mon budget)

Comment faire pour le service (je fais accord partiel et j'aurai encore la main pour faire des modifications ?) ?

Merci.

indeed a écrit:

- changer le nom d'un service

ça va être compliqué il me semble...

Changer le nom d'un service car tu utilises un service que tu as créé et ça ne leur convient pas ?
En ce qui concerne l'activité, c'est lié à leur souhait que tu utilises un code 1 ou 2 ou ce n'est même pas ça ?

Pourquoi obéir ?

Le Forgeron a écrit:

Pourquoi obéir ?

Je crois que je vais réfléchir à cette interrogation...

Dès lors que le budget est équilibré, la CT ne peut rien demander.

indeed a écrit:

Le Forgeron a écrit:

Pourquoi obéir ?

Je crois que je vais réfléchir à cette interrogation...

Les CT sont ce qu'elles sont, mais on travaille avec elles, qu'on le veuille ou non.
Faut pas ensuite venir se plaindre que les CT nous ignorent si nous-mêmes nous nous plaçons d'emblée dans cette posture...

Je ne me plie pas aux préconisations de la CT concernant les codes d'activité en 2 (sinon mon budget serait une véritable usine à gaz). Mais j'ai déjà modifié un code d'activité suite à une demande argumentée qui m'a paru pertinente, uniquement pour faciliter leur boulot. Pour moi, ce n'est qu'un code d'activité différent, rien de plus.
Par contre, pour le service, Indeed ne nous a pas donné de détail.

néthou a écrit:

...
Je ne me plie pas aux préconisations de la CT concernant les codes d'activité en 2 (sinon mon budget serait une véritable usine à gaz). Mais j'ai déjà modifié un code d'activité suite à une demande argumentée qui m'a paru pertinente, uniquement pour faciliter leur boulot. Pour moi, ce n'est qu'un code d'activité différent, rien de plus...

Ah bon ?
Il me semblait que pour les subventions, l'obligation en dépenses était de se servir des codes activités ad hoc ÉTAT et CT.
Tu peux faire ce que tu veux en recettes, les oublier, mais pas en dépenses.
Mais pour faciliter la gestion, il est préférable d'utiliser les mêmes qu'en dépenses pour mieux cerner ces subventions, non ?

MOA a écrit:

Tu peux faire ce que tu veux en recettes, les oublier, mais pas en dépenses.

Ah bon ? ( )
Je serais surpris que tu me trouves écrit quelque part que dans la mise en place de la RCBC, qui relève de l'Etat, nous ayons obligation de nous conformer aux demandes de la CT pour ce qui concerne les codes d'activité en dépenses (pourquoi en dépenses et pas en recettes, d'ailleurs ?)
Dans la notification de ma CT, il y a au moins une page entière de codes d'activité qu'elle souhaiterait voir utiliser en dépenses; j'ai plutôt "profité" de la RCBC pour me simplifier la gestion en regroupant sous un code d'activité unique ce qui relevait auparavant du 6064, 6065, 6066, 6068, etc, etc...  C'est peut-être moins "lisible", mais je préfère ça à une situation des dépenses engagées de 10 pages qui nécessite un index pour s'y retrouver. Une manière également (car le principe est valable pour le AP), de rappeler que l'équilibre budgétaire s'apprécie globalement au niveau du service, ce qu'on a quelquefois tendance à oublier (profs en interne comme AC en "externe").
 

MOA a écrit:

Mais pour faciliter la gestion, il est préférable d'utiliser les mêmes qu'en dépenses pour mieux cerner ces subventions, non ?

Oui, tu as raison, et c'est entre autres ce qui me fait nuancer le principe émis plus haut. Il n'y a que les imbéciles pour ne pas changer d'avis, ou savoir affiner leurs parti-pris de départ. ce que j'ai fait après la mise en place de la RCBC, soit parce qu'en matière de gestion je m'y retrouvais mieux à l'usage, soit parce que ça facilitait le travail de l'agence-comptable, soit parce que ça facilitait celui de la CT (et sans me compliquer le mien). Voilà voilà.

Bon, il est temps d'aller voir les Irlandais apprendre la dure réalité du rugby international aux jeunes pousses françaises...