On peut imaginer une autre solution : inscrire une recette supplémentaire au compte 776 (qui rétablira le déséquilibre induit par le mandat au c/675 de 2012) avec certificat de l'ordo en PJ.
Au moment de l'affectation du résultat, le déséquilibre du c/1068 se recalera automatiquement.
Avantage : ça évite de bricoler les bilans d'entrée, très "sensibles" en matière de contrôle, et déjà fort malmenés en ce moment.
Problème: si cette écriture conduit un total des mouvements au crédit du 776 supérieur au total des débits du 6811, GFC pourrait le signaler en anomalie...