OK, OK peut être avais-je la susceptibilité à fleur de peau après une difficile journée. Méa culpa.
Peut être aussi que " trop souvent les gens viennent ici pour avoir confirmation de leur opinion " comme l'a dit Volcan. Je ne m'en était pas rendu compte.
Je dois encore être sur les dents ...
le fait aussi que toute discussion qui s'éternise finit par soit changer de sujet soit s'abîmer dans la médiocrité. Même si le point Godwin n'est pas trop souvent atteint par chez nous.

car la réponse de l'IZ m'énerve encore un peu...

bidulle5 a écrit:

car la réponse de l'IZ m'énerve encore un peu...

Je suis un individu particulièrement crispant, tout le monde pourra te le confirmer.

Désolé Lapinou, je démens formellement ton affirmation.
A moins que nous nous opposions sur la définition du mot "crispant".

Aller à la CT pour cette "médiation" c'est pour le GM le risque de se dédire de son appréciation première.
Je pense qu'il ne faut pas ne serait-ce que pour marquer le coup (sous couvert du CE) et affirmer la non subordination des personnels de l'Etat que nous sommes vis à vis des CT.
Qu'on le souhaite pour l'avenir ou non, nous ne dépendons pas hiérarchiquement à ce jour des PCG et PCR.

Cela dit un personnel d'encadrement qui doit préparer une évaluation (et non la viser, ce qui appartient au CE) a tout intérêt à conserver la trace de ses appréciations premières, quelle que soit la nature et le circuit à venir de cet avis. SI l'échelon en dessus veut retoquer, il retoque. Mais il doit assumer et en cas de gros désaccord avec l'évalué, il ne faut pas hésiter à rappeler sa propre appréciation. Car en effet, qui connait le mieux la valeur professionnelle d'un agent si ce n'est son supérieur direct ?

Par conséquent une deuxième raison de ne pas rentrer dans la tambouille médiatrice...

Ciel que je suis heureux de ne plus avoir à travailler avec les CT !...