Il y en a mais si le temps partiel n'est pas de droit, comme son nom l'indique c'est au supérieur hiérarchique de juger s'il est opportun de l'accorder. De mon côté, à part exception dûment justifiée, je n'accorde pas d'autorisation de temps partiel. Comment justifier d'un retard et de la surcharge de travail (réelle) si on accepte que les personnes travaillent moins sans la moindre compensation? Car les rompus de temps partiel (de droit ou non) ne sont jamais remplacés. Alors il n'est pas question de tendre le bâton pour me faire battre. En plus, cela veut dire que durant l'absence de la personne, le gestionnaire devra faire son propre boulot et celui de la SAENES qui ne pourra attendre: accueil du public (profs qui veulent un crayon, élèves qui viennent payer une carte, parents qui règlent la demi-pension en espèces), réponse aux coups de fils et mails urgents. Et c'est alors aussi son travail qui sera impacté par ce temps partiel qui profite à un autre. J'ai l'esprit large mais le sens de la survie, désolée. De plus, avant de demander un temps partiel et de râler s'il n'est pas obtenu, je conseille de vérifier si les 1607 heures sont bien effectuées car ce n'est pas encore le cas partout.
_________________
Marquise de la Zone
Grande Dauphine