Je suis en train de perdre un temps fou pour justifier des ORR de l'année civile 2008 car l'ancien AC tolérait des ORR ou ORV avec PJ = 0. Un commentaire genre "dupont trop versé" ou "erreur or avril" suffisait.

La CRC réclame des explications, 3 ans après, c'est limite mission impossible.
C'était mon coup de gueule du jour !!!

Est ce à vous de répondre ou à cet ancien ac ?

je ne suis que GM, c'est l'AC actuel qui a procuration.
C'est autant l'ancien GM que l'ancien AC les fautifs. Les 2 ne comprenaient rien d'ou la mutation d'office de l'AC sur un poste non comptable.

Il nous arrive aussi d'avoir des pj zéro mais avec un renvoi pour une opération dans le même bordereau (facture scindée) ou celui d'avant (suite à un rejet de mauvais rib) , il faut en effet une explication très claire

Normal. Je redis qu'un AC qui accepte une annulation de recette ou un OREV sans vérifier le bien fondé, c'est à dire sans PJ indiquant que l'AOR n'a pas - par exemple - pour but de supprimer une créance irrécouvrable, engage sa responsabilité et risque le débet.

Et une indication manuscrite dans les observations ce n'est pas suffisant?

une AOR ou un ordre de reversement ne sont pas des opérations anodines. Exemple une AOR peut servir à supprimer une recette valable qu'un comptable négligent n'aurait pas recouvré. L'AOR sans pièce peut servir à faire disparaitre ce manquement. Les CRC les examinent avec attention et autant éviter de leur donner le bâton pour se battre.

Canard a écrit:

Et une indication manuscrite dans les observations ce n'est pas suffisant?

J'ai une méthode que je me permets de conseiller à tous les comptables.

Pour chaque PJ je me pose la question : "un vérificateur de la CRC qui ne connait pas les à cotés de l'établissement, l'historique et le contexte, peut-il comprendre et contrôler sans se poser de question le mandat ou l'OR ?".

N@n@rd a écrit:

Canard a écrit:

Et une indication manuscrite dans les observations ce n'est pas suffisant?

J'ai une méthode que je me permets de conseiller à tous les comptables.

Pour chaque PJ je me pose la question : "un vérificateur de la CRC qui ne connait pas les à cotés de l'établissement, l'historique et le contexte, peut-il comprendre et contrôler sans se poser de question le mandat ou l'OR ?".

C'est exactement la question que je me pose lors de l'élaboration de la pièce jointe.
Il faut que ce soit un document clair et complet, qui n'oblige pas à retourner la moitié des archives si on recherche une info quelques années plus tard.

Encore faut-il que les demandes de l'AC sur les PJ ne donnent pas au vérificateur en question l'impression que l'on s'adresse manifestement à un enfant de 5 ans.

Ils savent ce qu'est un AOR ou un ORVST, la logique qui y conduit, et bien souvent, quand on met en PJ deux documents clairs qui ajoutent 2 à 2, ils n'ont pas nécessairement besoin d'un troisième document qui leur expliquera par A+B que de ce fait ça fait 4...