bonjour,

j'ai de gros soucis avec l'operateur de telephonie Orange car ni le tarif, ni le nombre de lignes sur les factures ne correspondent au forfait que nous avons souscrit.

les factures s'accumulent depuis quelques mois car je n'utilise pas le prélèvements automatiques et toutes les reclamations à ce sujet ne sont pas traités au point d'avoir du solliciter la repression des fraudes.

faut il payer quand meme les factures ou continuer à les bloquer ? faut il ne payer strictement que le montant non contesté comme le conseille les fraudes quid de la comptabilité publique et des pièces justificatives ? va t'on nous couper le telephone ?

merci de vos conseils

La facture n'est pas bonne, tu as les éléments connus des 2 parties qui peuvent le justifier, tu as raison de ne pas régler des documents non conformes. Rectifier une facture après que le fournisseur avisé de son erreur ne l'ait pas corrigée est une possibilité offerte par le code des marchés publics. Connaissant l'opérateur et les difficultés qu'il y a a discuter avec lui de choses claires, il vaut mieux éviter de compliquer en réglant ce qu'on a calculé et en attendant qu'ils y comprennent quelque chose.

Ne paie pas et mets les en demeure de présenter des factures conformes au forfait retenu.

En même temps, avec leurs "formules" tordues qui sont nettement plus compliquées que celles du Pr Sato, c'est normal de ne rien piger et de se faire balader.

Et pis ce fournisseur, entre autres amusantes caractéristiques, est incapable de comprendre que ce n'est pas une bonne idée de mettre mon nom sur TOUTES les factures, tout ça parce qu'on m'a demandé un jour mon nom en tant qu'interlocuteur. Je me demande si je ne devrais pas cesser de les payer en leur disant que je ne reprendrai les versements que lorsqu'ils auront cessé ça. (et encore heureux que je ne sois pas client à titre perso chez eux, sinon bonjour le boxon !)

Dans un autre établissement, ils étaient incapables de comprendre que l'adresse qu'ils utilisaient faisait référence à une rue disparue du plan communal lors de la construction de l'établissement, et que la majorité des postiers n'étaient tout simplement pas en mesure de savoir où mettre leurs courriers. Deux ans de bataille avant d'obtenir qu'ils mettent la bonne rue... comme commentaire sur la 2e ligne !