Bonjour,
Adjointe-Gestionnaire, j'ai demandé et obtenu une dérogation en 2022-22 pour ne pas loger au sein du collège évoquant la vétusté XXL de l'établissement aujourd'hui reconstruit. Je n'ai pas évoqué la réelle raison de cette requête. Cette année, j'ai dû justifier mes raisons personnelles (je m'occupe de ma maman malvoyante), et j'ai obtenu à  nouveau une dérogation. Toutefois, le motif n'étant plus la vétusté du collège, ma prime est alignée à hauteur des adjoints-gestionnaires logés. Je ne trouve pas cette décision juste. Mais je souhaiterais votre retour. Je n'ai pas la culture professionnelle du secondaire et cet environnement ne me correspond absolument pas. Il me faut en partir très vite.
Cette prime rognée en rajoute à ma souffrance professionnelle.
Merci d'avance du partage de vos avis.
Corinne

Cela correspond en effet à la "culture administrative".
Tu n'as pas de raison "valable" de ne pas loger, donc on te fait une fleur en acceptant que tu ne le fasses pas, mais faut pas demander à passer à la caisse en plus.

La "culture administrative" est bien gentille mais alors elle s'applique à toutes les catégories de personnels logés et rogner la prime de tout le monde alors.

Pour moi, s'occuper d'un ascendant est un motif valable, fais un recours amiable en contactant les syndicats en parallèle.

Ce qui est révoltant, c'est que chaque académie pratique une politique différente. Lorsque je bénéficiais d'une dérogation (2020-2021 puis 2021-2022), mes indemnités ont été basées sur celles d'un personnel non logé alors même que la dérogation n'était pas de droit. Dans certaines académies, la dérogation n'engendre pas d'impact sur lesdites indemnités.